oswell prewett

come away little lamb, come away to the slaughter

papiers d'identité. nom : prewett, un patronyme longtemps inconnu au douze jusqu'à la victoire du fils ainé. prénom(s) : oswell, un prénom simple, lointain ; celui de son père, hérité lui aussi de son père. une sorte d'héritage qui perdure depuis des générations. surnom : mieux vaut éviter les surnoms avec le vainqueur, sous peine de s'attirer ses foudres. sa femme avait pourtant l'habitude de l'appeller os, tout simplement. mais aujourd'hui elle n'est plus là pour le faire. âge : trente-quatre ans maintenant. district de naissance : le douze, il n'a quitté son district natal que pour ses jeux et les visites dans la capitale qui ont suivies. quelques traits de caractère : intelligent ☆  attentif ☆  rêveur  ☆  fidèle ☆ doux ☆  cultivé ☆ solitaire depuis la perte de sa femme ☆ aigri ☆ créatif ☆ borné ☆ confiant  ☆ franc ☆ secret ☆  dynamique ☆ attachant ☆ rusé ☆ brisé, mais il le cache bien. groupe : we respect the rules. métier/occupation : le jeune homme est mentor du douzième district, il s'occupe des tributs chaque année lors des jeux. mais à côté de ça, le vainqueur s'est trouvé un talent que le capitole a vite voulu exploiter : il publie aujourd'hui des bandes dessinées dans la capitale, œuvres qui ont un franc succès chez les capitoliens. personnage : inventé. sous le visage de : aidan turner. crédits avatar : stilinski. sous le masque. pseudo : chameleon circuit. prénom : léa. âge : majeure et vaccinée    pays : france      ton avis sur le forum : magnifique, le contexte m'avais charmé mais là je suis complétement amoureuse, c'est juste parfait    un dernier mot : n'hésitez pas à me MPotter, ma box est grande ouverte pour n’importe type de liens    Code: <t>aidan turner</t> ≈ oswell prewett.

may the odds be ever in your favor.
que penses-tu du capitole ? Oswell aimerait haïr le Capitole plus qu'il ne le fait, se battre et faire entendre sa voix. Pour avoir passé la majorité de son enfance dans la misère de son district natal, il connait la peine que doivent endurer quotidiennement le Douze. Pendant longtemps, il a tâché d'être un Vainqueur compatissant, distribuant parfois de la nourriture aux plus pauvre, offrant des couvertures lors des hivers les plus rudes. Le Vainqueur faisait ce qu'il pouvait avec ce qu'il avait. Et puis elle est partie, sa femme, emmenant avec elle leur fils mort-né. Elle était morte, et il perdit toute raison de se battre.  Aujourd'hui il se ment à lui même, profitant du confort apporté par sa victoire, se convainquant sagement qu'il ne peut de toute manière rien faire pour changer les choses. Il faut choisir ses batailles dans la vie, et Oswell se refuse à user sa force pour détester une chose si puissante.
et les jeux, tu as un avis dessus ? Pour avoir été victime de leur cruauté, Oswell maudit les Jeux du plus profond de son âme. Le Vainqueur est revenu vivant, certes, mais complétement dévasté par l'horreur qu'il avait dû vivre là-bas. Les cauchemars sont toujours là, saisissant, et la peur ne le quitte pas. Mais outre sa propre expérience traumatique, il rage encore devant son écran chaque année, assistant impuissant à la perte de ses tributs, au massacre de deux nouveaux adolescents. Dix-sept ans qu'Oswell a survécu à ce massacre, et pourtant il ne pourrait haïr plus les Jeux qu'il ne le fait aujourd'hui.
la plaque, tu connais ? tu y vas de temps en temps ou pas ? La Plaque a longtemps été un terrain de jeux pour Oswell, qui a passé une grande partie de son enfance à courir dans les allées noircies du marché illégal avec ses frères. Sa mère travaillait là-bas, tenant une petite échoppe de viande, ramenée par les contrebandiers du district ; celle de son père principalement, avant que celui-ci ne disparaisse dans la nature. Aujourd'hui, il ne s'y rend plus que rarement, seulement pour rendre visite à de vieilles connaissances ou pour amener quelques denrées qui pourraient servir à certains commerçants : des vieux vêtements, de la nourriture, tout ce qui lui parait utile pour les habitants dans le besoin.
imagine, on t'offre un souhait. quel serait ton vœu ? Sans aucune hésitation, Oswell ramènerait sa femme et son fils auprès de lui. Cette dernière est morte il y a dix ans maintenant, succombant à son accouchement difficile, emportant avec elle l'enfant mort-né. Ce jour là, le Vainqueur perdit celle qu'il aimait et son enfant ; s'il n'avait qu'un vœu, qu'un seul, il souhaiterait que Tasha  et le nouveau-né survivent et soient à ses côtés aujourd'hui, pour l'aider, comme à l'époque, à surmonter les cauchemars et la peur.

any last advice ? stay alive.

if we burn, you burn with us.

≈ I'm giving you a nightcall To tell you how I feel. I want to drive you through the night Down the hills. I'm gonna tell you something you Don't want to hear. I'm gonna show you where it's dark But have no fear.

« Et maintenant, veuillez accueillir comme il se doit le vainqueur de la septième édition des Jeux de la Faim ! Mesdames et Messieurs, peuple de Panem : Oswell Prewett ! » Le souffle court, le regard perdu. Ses mains ne tremblaient plus à présent, elles étaient secouées par des spasmes incontrôlables alors que, tout autour de lui, la pièce semblait tourner. Oswell ferma fort les yeux en lorsqu'il sentit dans son dos la pression de la main de son hôtesse le pousser vers la scène. Le Vainqueur retînt son souffle et compta jusqu'à dix. Il ne voulait pas, il ne pouvait pas faire face de nouveau à tout ça. Il avait gagné, il était sorti vivant ; tout ce qu'il voulait maintenant, c'était rentrer tranquillement chez lui, pas se donner grossièrement en spectacle devant le tout Panem. Mais il n'avait pas le choix, pensa-t-il en expulsant l'intégralité de l'air de ses poumons dans un long souffle. Il devait passer par là pour la retrouver. Il rouvrit les yeux, se tournant un peu plus calmement vers la jeune femme aux longs cheveux verts qui lui sourit chaleureusement. Il hocha la tête vivement, agitant les mains devant lui comme pour chasser un engourdissement fantôme. Il pouvait le faire. Une petite interview, et il serait chez lui.

Oswell éclata de rire, un rire qui sonnait si faux mais qui pourtant semblait tromper le public. Depuis cinq minutes qu'il était sur scène, il avait réussi à tenir bon face au grotesque présentateur. Le Capitolien savait mettre les gens en confiance, c'était sur, et sans son aide le garçon aurait bien du mal à paraitre si naturel. « Mais dites moi Oswell, c'est une tactique bien peu commune qui vous a permis de revenir et d'être parmi nous ce soir. Expliquez nous un peu ce qui vous a poussé à nouer et à dénouer tant d'alliance avec les autres tributs. » Les mots défilèrent dans la tête du jeune homme : lâcheté, traitrise, faiblesse. Survie. Même maintenant qu'il était sorti de cet enfer, maintenant qu'il avait eu le temps de repenser à cela, il ne distinguait plus bien certains moments dans l'arène. En particulier ces moments de faiblesses. Pour survivre, Oswell avait repéré les tributs les plus faibles, et les avait chassés à travers les usines en ruines qui couvrait son champ de bataille ; mais pas pour les tuer. Pour leur proposer une alliance. Il profitait ainsi du premier tour de garde de l'autre tribut pour récupérer quelques heures, avant de l'achever dans son sommeil et de voler tout ce qu'il possédait. Bien sur, cela n'avait pas fonctionné à chaque fois, comme en témoignait ses nombreuses cicatrice, et surtout l'énorme la prothèse en acier qui lui servait à présent d'épaule. Mais ce plan avait été suffisamment efficace pour qu'il s'en soit sorti vivant. Pourtant, pour ce jeune homme si doux, si fidèle, ces actes de traitrises répétées, s'ils avaient semblé naturel dans l'arène, était beaucoup moins justifiable de retour dans la réalité. « Je ... » commença le jeune homme qui avait bien du mal à s'identifier au meurtrier qui avait pris le dessus dans les jeux. « J'ai dû faire ce que j'avais à faire. Pour rentrer. C'était dur, je déteste mentir et tromper, comme tout le monde. Mais c'est grâce à ça qu'aujourd'hui je suis là, grâce à ça que je rentrerais à la maison. Et que je vais pouvoir revoir ceux que j'aime. C'est tout ce qui importe au final. » La foule poussa un murmure attendrit, préférant surement omettre que le jeune homme parlait de massacre de masse. « En parlant de ceux que vous aimez, très cher Oswell ... » continua Caesar, changeant de sujet avec un éclat malin dans le regard. « Parlez nous donc de cette fameuse Tasha. Nous vous avons souvent entendu murmurer son nom dans l'arène, je pense parler pour tout Panem en vous demandant de nous en dire plus ! » L'excitation parcourut la foule alors qu'assis sur son siège, le jeune Prewett se renfrogna. Non. Tasha était la sienne, son petit secret qu'il n'était pas prêt à partager avec le pays entier, et surtout pas avec le Capitole. Son cœur se serra en pensant à la jeune femme, il lança un regard paniqué dans la foule, cherchant du regard son hôtesse. Elle lui fit signe de continuer. Il aurait voulu dire non, s'enfuir en courant du plateau télévisé et emportant avec lui sa bien-aimée. Mais il savait que s'il voulait revoir un jour le sol boueux du district douze, il devait faire face. « Tasha est ... ma petite amie. Là-bas, à la maison, au Douze. Je lui ai promis de revenir vivant. Et je l'ai fait, pour elle. » lâcha-t-il à contrecœur, un sourire rêveur au visage alors qu'il s'imaginait déjà à ses côtés.

≈ It's empty in the valley of your heart, The sun, it rises slowly as you walk. Away from all the fears And all the faults you've left behind. But I will hold on hope And I won't let you choke On the noose around your neck.

« Tu devrais sortir un peu Os, c'est ce que maman à dit. » La cadette Prewett était rentrée sans un mot dans la chambre du Vainqueur, se dirigeant d'un pas vif vers la fenêtre. D'un geste vif, elle ouvrit les rideaux, puis la vitre pour aéré la pièce, l'odeur de renfermé devenant presque insoutenable. Près d'un mois maintenant que le jeune homme ne voulait plus quitter la maison, ne sortant de son antre que pour manger et passer à la salle d'eau. « Et toi tu devrais apprendre à me laisser tranquille. » lâcha-t-il sèchement, ne prenant même pas la peine de lever le regard. Courbé au dessus de sa feuille grisée par la mine grise de son crayon à papier, Oswell ne voulait pas voir sa sœur. Il ne voulait voir personne. Ou plutôt si : il voulait voir sa femme. Mais malheureusement, ce n'était plus possible. Plus depuis qu'elle avait succombé à son accouchement, emmenant avec elle l'enfant à naître. « Est-ce que je peux dessiner avec toi ? » L'enfant s'approcha en sautillant de son aîné, esquivant les dizaines de boules de papiers usées qui jonchaient le sol. Sur la pointe des pieds, la brune tâcha de distinguer le dessin sur les genoux de son frère, mais le jeune homme rabattit brutalement la feuille contre sa poitrine. « Laisse moi Astrae. Sort de là et ferme la porte derrière toi ! » « Mais ... » « Va-t-en ! » cria-t-il, plus violemment qu'il ne l'aurait voulu. Les larmes aux yeux, la fillette fila au pas de course, claquant l'imposante porte de la maison du vainqueur dans son dos. Oswell attrapa sa tête entre ses mains, regrettant déjà d'avoir hurlé ainsi sur une enfant de sept ans. En colère contre lui même, il envoya son stylo volé à l'autre bout de la pièce, déchirant avec rage le dessin sur lequel il s'appliquait depuis des heures. Autour de lui, des dizaines de boules froissées, chacune noircies par les ébauche du jeune homme : parfois des souvenirs vagues de son arène, une usine, un tribut, une scène violente ; d'autre fois, des scènes de sa vie quotidienne comme sa femme, la Plaque, sa famille. Des esquisses tout au mieux qu'il finit toujours pas jeter. Cette dépression, voila près d'un mois qu'il y est plongé, dévasté par le départ de sa Tasha. C'était la seule qui l'aidait à tenir, depuis son retour des Jeux. La seule chose qui l'empêche de sombrer dans la folie. Et elle n'était plus là. Oswell était effrayé, terrifié à l'idée de faire face sans sa femme. C'était elle qui avait toujours fait ressortir son bon côté ; elle qui l'accompagnait distribuer de la nourriture à la Plaque, elle qui le réconfortait la nuit après ses cauchemars. C'était grâce à Tasha qu'il avait survécu, pour elle qu'il était revenu. Et maintenant ? Il craignait de sombrer dans les bras de Morphée, trop apeuré à l'idée d'être secoué par ces inévitables cauchemars. Il ne voulait plus sortir de chez lui, appréhendant de voir le monde sous un autre jour. Il était bien incapable d'imaginer sa vie sans elle, et pourtant. Il allait bien devoir sortir de sa tanière finalement, pour prendre soin des autres. De sa mère, qui vivait dans la demeure du Vainqueur depuis le départ de Tasha, et de tous ses frères et sœurs, encore en âge d'être pigés. Voila maintenant bien des années que son père avait disparu dans la forêt du Douze, et c'était son devoir maintenant de protéger les Prewett. Et c'était pour cela qu'il se battait encore ; peut-être pas assez pour le moment. Mais il en était sur, il allait réussir. Réussir à être fort, pour eux.

≈ Every now and then, the stars align, Boy and girl meet by the great design. Could it be that you and me are the lucky ones? Everybody told me love was blind Then I saw your face and you blew my mind. Finally, you and me are the lucky ones this time.

Voila quelques mois maintenant qu'elle l'avait découvert. Adossé à un arbre dans la prairie qui longeait la clôture du Douze penché sur son carnet de dessin. La brune n'avait pas hésité longtemps, reconnaissant bien le Vainqueur mais refusant de se laisser impressionner par ce que l'on pouvait raconter sur lui. Oswell, le terrible Oswell, celui qui avait perdu la raison ; pas à cause des Jeux comme les autres Vainqueurs, mais de la perte de l'amour de sa vie et l'enfant qu'elle portait. Parlant tout seul disait-on, paranoïaque, prenant peur pour un rien. Ce n'était rien par rapport à certain survivant des Jeux, mais il n'en restait pas moins une mauvaise fréquentation. Pourtant, Hestia voulait croire qu'il y avait plus chez cet homme que son attitude renfrognée et ses airs bourrus. Que derrière cette carapace solide se trouvait toujours l'homme qu'il avait un jour été. Alors elle l'avait approché, c'était assis à ses côtés en ignorant les plaintes répétées d'Oswell. « C'est superbe. » souffla Hestia en pointant du doigt la planche de dessin grisée par son crayon, posée sur les jambes rabattues d'Oswell. Depuis maintenant plusieurs années, le Vainqueur publiait des bandes dessinées au Capitole, une activité qui l'aidait à décompresser et qui avait eu, étonnamment, un grand succès dans la capitale. S'il avait été retissant à publier ses œuvres, préférant garder cette activité strictement personnelle, ne partageant ses dessins qu'avec ses proches, il avait pourtant cédé il y a quelques années. Hestia en avait aperçue une copie à l'école où elle travaillait, et n'avait pu s'empêcher d'admirer le charme de la minutie de ses dessins, la beauté de ses histoires. « C'est personnel. » répondit-il sèchement, contrarié d'avoir été surpris de la sorte, rabattant sa planche contre son torse. « Et bien ça ne devrait pas. Vous devriez le partager, vous avez du talent, et c'est dommage de la garder pour vous. » Oswell fronça les sourcils, ne sachant quoi répondre. Il sauta sur ses pieds, ses dessins dans les bras. « Personne ne vous a dit de ne jamais parler aux inconnus ? » Dans son dos, il entendit la voix haut perchée de la brune lui répondre, mais préféra l'ignorer. Il n'aimait pas être dérangé, encore moins lorsqu'il dessinait ; c'était le seul moment où il pouvait totalement se laisser aller. Et il aurait voulu être en colère contre la jeune institutrice, pourtant, il ne pouvait s'empêcher d'admettre qu'elle avait raison. Oswell regrettait le temps où il dessinait en compagnie de ses frères et sœurs, où il aimait leur enseigner, s'amuser avec eux. Mais ce temps était bel et bien résolu.

Et l'histoire aurait pu s'arrêter là si la jeune Hestia n'était pas si têtue. Car la brune avait débarqué au pas de sa porte quelques jours plus tard, lui demandant, panier de pâtisseries à la main, de venir présenter ses œuvres à sa classe, à ces enfants qui avaient bien besoin d'un peu d'art dans leur vie. Il accepta à contrecœur, ne pouvant dire non ni à ses grands yeux noisettes, ni aux cookies dissimulés dans son cadeaux. Elle avait du culot pensa-t-il, de venir le déranger ainsi dans sa tanière de vainqueur ; mais il aimait ça. La douce, la joyeuse Hestia, un personnage plein de vie comme il en manquait cruellement dans sa vie. Il vint rendre visite à la classe une fois, puis deux, puis accepta d'enseigner le dessin aux enfants une fois par mois, appréciant la compagnie innocente des jeunes élèves.

« Vous aimez ça, pas vrai ? Leur apprendre tout ça, les voir sourire ? » Le vainqueur sourit timidement, regardant la classe de la brune s’affairer au dessus des feuilles blanches. Il n'avait pas besoin de répondre. Au fils des visites, il avait appris à comprendre Hestia ; lorsqu'elle posait des questions de la sorte, elle savait, et peut importait la réponse de l’intéressé, elle ne changerait pas d'avis. Et elle avait raison. Il adorait ça, partagé ces moments avec tous ces enfants. Ca lui changeait de l'ambiance morbide qui planait autour de lui chaque fois qu'il se retrouvait seul. Pourtant, une autre chose le faisait revenir dans la petite école du Douze : elle. Elle et son sourire, sa bonne humeur, sa simplicité. Avec elle, il se sentait enfin en paix. « Vous êtes plutôt doué avec eux, Mr Prewett. Ils vous aiment bien. » « J'espère bien. Je suis content de pouvoir les aider. De ... de pouvoir vous aider. » La brune laissa échapper un sourire sincère. Elle aimait cette lueur dans ses yeux quand il était avec les enfants, et ce sourire qu'il utilisait si rarement. Elle l'aimait beaucoup, pour sur, mais à quel point ? Il avait tout de même près de dix ans de plus qu'elle. Et il l'aimait, pour sur, d'une manière qu'il n'avait retrouvé qu'une fois dans sa vie : lors des premières années avec sa défunte épouse, quand la rousse était encore à ses côté. Il ne savait plus, et ne voulait pour le moment pas savoir. La seule chose dont il était sur, c'est que ces visites à l’école n'étaient pas prête de se terminer, ne serait-ce que pour le simple plaisir de côtoyer Hestia.

Bienvenue au district 12

puisse le sort vous être favorable

Félicitations, te voilà officiellement membre du district douze ! L’étape de la présentation est désormais derrière toi, et il ne te reste que quelques détails à régler avant de profiter pleinement du forum. Et comme on est sympa, on va t’aider en te donnant les liens principaux. Pour bien t’intégrer, il te faut aller faire un tour du côté des liens, et poster ta propre fiche. Dans le district, tout le monde a un rôle à jouer. Tu peux voir le registre des métiers proposés proposés et recenser le tiens dans ce sujet. Enfin, tu peux créer tes scénarios si tu recherches des liens spécifiques. Par contre, si l'on se charge d'ajouter ton avatar au bottin, tu n'oublieras pas de recenser celui de tes scénarios une fois qu'ils seront achevés. Nous avons aussi une section pour mettre en contact membres et invités qui recherchent des liens particuliers sans passer par un scénario... N'hésite pas à y faire un tour!
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