gisele greyclaw

je ne pensais pas qu'on puisse autant s'amuser autour d'une tombe

papiers d'identité. nom : greyclaw. prénom(s) : gisele. surnom : on la connait sous le pseudo de griffe grise ou juste la griffe. âge : vingt-cinq hivers. district de naissance : originaire du deux. quelques traits de caractère : bornée, généreuse, débrouillarde, impulsive, avec une sensibilité exacerbée depuis qu'elle a découvert de quel bois est véritablement fait le monde dans lequel elle vit, violente, emphatique, spontanée, fragilisée. groupe : we make the rules. métier/occupation : pacificatrice. personnage : inventé. sous le visage de : kristen stewart. crédits avatar : aurélie, depuis bazzart. sous le masque. pseudo : insuline. prénom : mathilde. âge : vingt-deux printemps. pays : france. ton avis sur le forum : ici. un dernier mot : ici. Code: <t>kristen stewart</t> ≈ gisele greyclaw

may the odds be ever in your favor.
que penses-tu du capitole ? Alors que, lorsqu'elle était petite, Gisele était fascinée par le Capitole, ses habitants et leurs activités, elle adorait la part de mystère et le côté hors du temps, hors de tout, que la vie là-bas semblait dégager. Elle s'est même surprise, souvent, à se demander ce qu'elle serait devenue si elle-même était née au centre du monde. Mais voilà, depuis Gisele a déchanté et désormais tout ce qui a trait de près ou de loin aux capitolins l'irrite et l’écœure au plus haut point sans qu'elle puisse pour autant se défaire de cette fascination devenue malsaine et équivoque qu'elle a toujours eu pour le Capitole. Quand on y pense, tout cela est bien paradoxal pour elle qui reste, avant tout et aux yeux du monde entier, un soldat du Capitole. Elle est d'ailleurs longtemps restée parfaitement indifférente au système politique mis en place et, en un sens, c'était déjà le cautionner. Sortie de l'enfance, Gisele a voulu renforcer les rangs des pacificateurs où elle souhaitait se donner corps et âme puisque c'était la dernière chose qui lui restait et qui lui tenait encore à cœur. L'honneur. Se lancer dans une carrière glorifiant le Capitole, l'œuvre de toute une vie. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, Gisele avançait la conscience apaisée. Et puis elle a été envoyée au district 12, pour faire respecter l'ordre et la loi. Et elle a vu beaucoup de choses qu'elle ne connaissait pas : la misère, la souffrance, les pleurs, l'inégalité des conditions. De quoi faire chavirer le plus rocailleux des cœurs, alors celui de Gisele n'en parlons pas. Il n'a évidemment pas tenu le choc.
et les jeux, tu as un avis dessus ? Gisele les tient en horreur, depuis toujours. Certes elle a été toute son enfance rompue au combat et préparée à l'éventualité d'être moissonnée mais contrairement à beaucoup d'enfants de son district, Gisele considère que participer aux Jeux ne ressemble en rien à une victoire ou à un privilège quelconque. Les jeux ne sont qu'une impitoyable boucherie et, jusqu'à sa majorité, elle était mortifiée à l'idée d'être tirée au sort. En définitive, elle trouve que c'est un jeu cruel et injuste et ce sentiment n'a fait que s’accroître depuis la mort de Percival.
la plaque, tu connais ? tu y vas de temps en temps ou pas ? Terrain de jeu favori de nombre de ses collègues pacificateurs, Gisele pour sa part déteste cet endroit qu'elle ne sait comment appréhender. C'est l'endroit du district dont elle se méfie le plus et évite autant que possible d'y exercer ses fonctions : la jeune femme a en effet encore du mal à discerner, parmi les trafiquants du marché noir, ceux qui n'ont pas d'autres moyens de survivre de ceux qui sont là uniquement pour escroquer les habitants qui n'ont pas accès aux commerces légaux. De fait, Gisele a le féroce sentiment d'avancer sur un terrain glissant chaque fois qu'elle se rend à la plaque et elle ne fait jamais autant preuve de précaution que là-bas.
imagine, on t'offre un souhait. quel serait ton vœu ? Il n'y a qu'une chose, dans le fond, qui l'aide à repousser la fin de sa vie jusqu'au lendemain. C'est pourtant un combat de tous les jours et elle s'est retrouvée, plutôt deux fois qu'une, sur le point d'abandonner, au plus près du précipice. C'est que l'avenir de Panem lui paraît bien obscur et si Gisele croit encore en l'humanité, elle ne croit plus du tout aux bonnes grâces et à la générosité du Capitole. Elle a presque honte, finalement, de faire partie d'un tel système et se sent plus que jamais redevable. Redevable envers ces gens que l'on empêche de manger à leur faim. Redevable devant ses gens à qui l'on arrache les enfants. Redevable devant ces gamins qu'on oblige à se battre jusqu'à la mort. Redevable envers toute une population que le Capitole butine encore et encore alors que les fleurs sont fanées depuis longtemps, alors que cela fait des lustres qu'il n'y a plus rien à récolter. Depuis, Gisele tente tant bien que mal de rendre ce monde un peu meilleur, ou, du moins, un peu moins pire. Voilà. Elle n'a plus de désir propre, plus d'ambition pour elle même, elle n'a juste plus que son existence et son grade, assorti de maigres privilèges, qu'elle dévoue toujours un peu plus aux autres. C'est une idéaliste au fond. Mélancolique, piètre et désabusée, mais idéaliste.
Alors si la jeune femme ne devait qu'un vœu et un seul, elle souhaiterait que toute la population de cette terre soit placée sur un pied d'égalité, que tout le monde parte, en somme, avec les mêmes chances, que les dés ne soient plus pipés.

any last advice ? stay alive.

if we burn, you burn with us.

« Percival Thorn, tu n'es qu'un imbécile. Un sombre, un stupide, un cruel imbécile. » Voilà ce qu'elle avait brûlé de lui cracher au visage, voilà ce qu'elle aurait pu lui dire si elle avait eu plus de courage. Au lieu de cela les mots qui se bousculaient dans sa tête une minute plus tôt restaient maintenant coincés dans sa gorge. Elle était incapable de s'élever contre ces yeux pleins d'une détresse résignée. Il l'attira avec poigne entre ses bras alors que les larmes lui montaient aux yeux mais, à la place de s'y blottir comme elle aimait si souvent le faire, elle serra les poings devant elle et tambourina de toutes ses forces dans la poitrine et les flancs du jeune homme. Ses coups semblaient à peine l'effleurer alors qu'elle y mettait toute son énergie. Elle avait besoin d'évacuer sa colère et son angoisse. Il encaissa cet excès de violence sans broncher jusqu'à ce que Gisele, épuisée et esseulée, tombe à ses genoux. Lorsqu'elle releva la tête vers lui, ses mèches brunes collaient son visage et ses yeux étaient baignés de larmes. Elle aurait dû avoir honte de faire une telle scène alors qu'ici se porter volontaire aux jeux était considéré comme une distinction toute particulière mais à ce moment là la brunette s'en moquait éperdument. Elle ne pensait qu'à elle-même et au dégoût de la vue que lui proposait celui qu'elle aimait de toute son âme. Au milieu de ses amis, il se pavanait comme un paon, discutant déjà de la stratégie qui serait la sienne lorsqu'il serait jeté dans l'arène. Gisele était horrifiée. « Alors tu es vraiment si pressé que ça de mourir ? Les larmes dégoulinaient. Est-ce que tu as seulement pensé à moi ? Non, forcément. Tu vas me laisser toute seule. Je vais être seule. » Seule. La hantise suprême.

Il y avait mille insultes auxquelles elle avait pensé, mais aucune désormais ne lui revenait. Le seul mot qu'elle réussit faiblement à prononcer fut pourtant et seulement « Pourquoi ? » Pourquoi faire une chose pareille ? Elle connaissait déjà la réponse, elle était là enfouie quelque part au fond de sa poitrine, mais Gisele avait peur de l'entendre. « Pour elle. » Les mots tombèrent, francs et cruels. « C'est tellement injuste. » Il s'agissait après tout de leur dernière moisson puisqu'à la même époque l'année prochaine, ils seraient majeurs. Enfin seraient... s'il lui revenait jamais. L'idée déclencha un nouveau sanglot qu'elle étouffa contre la solide épaule de Percival. Il l'entourait désormais de ses deux bras protecteurs et vint lui murmurer quelque chose à l'oreille qu'elle seule pouvait entendre. « Je suis tellement désolé Gisele. Je n'avais pas d'autre choix, tu le sais très bien. » Elle le savait oui. Elle savait également qu'elle l'enlaçait pour la toute dernière fois...


Le district préparait l'arrivée de la grande gagnante avec effervescence et une immense fierté qu'était bien loin de partager Gisele. En vérité, elle la répugnait, la dégoûtait. La jeune femme traînait des pieds, était d'humeur maussade voire carrément morbide et tous ceux qui la connaissaient la fuyaient comme la peste mais elle ne leur en voulait pas, bien au contraire. Parler était tellement douloureux depuis quelques jours...

Elle ne voulait pas la revoir. C'était pour elle qu'il s'était porté volontaire, pour elle qu'il avait tué et pour elle enfin qu'il s'était lui-même porté le coup fatal. De là à dire qu'elle l'avait tué, il n'y avait qu'un pas, et Gisele était toute prête à le franchir. Pouvait-elle pardonner à la jeune femme de lui avoir volé l'amour de sa vie ? Car c'est indéniablement ce qu'elle avait fait, même sans en être consciente, ce qui était d'autant plus difficile à reconnaître. Percival l'avait préférée à elle-même. Elle avait été idiote de croire qu'il pouvait sortir vainqueur de ces Jeux. Il ne s'y était engagé que pour une seule raison, pour une seule personne. Hortense. Et il avait réussi au delà de toute espérance. C'était un beau sacrifice mais il était trop douloureux et Gisele ne pouvait pas l'accepter, encore moins le comprendre.

Tout d'un coup on entendit un bruit tonitruant et quelques secondes plus tard le train apparût dans la gare. L'assistance bouillonnait. Lentement, très lentement, une porte s'ouvrit puis une autre et lorsqu'enfin Hortense sortit au grand jour, au même moment, au milieu d'une foule en liesse, une ombre s'éclipsait discrètement, se dérobait à la vue de tous.

Plutôt que d'applaudir à contre-cœur et de saluer la personne qu'elle avait le moins envie de voir en ce bas monde, Gisele s'éloignait. Elle avait mieux à faire. D'un pas déterminé, elle se rendait sur le sépulcre qu'elle avait elle-même improvisé dès qu'elle avait appris la mort de Percival. Il n'y avait pas de corps sous la terre, juste une fleur séchée qu'il lui avait donnée avant de partir pour l'abattoir, mais c'était la seule chose à laquelle elle pouvait se raccrocher et c'était mieux que rien. C'était la seule chose matérielle qui lui restait de lui et elle savait désormais qu'elle n'aurait jamais rien de plus. Elle s'agenouilla dans la terre humide, indifférente à l'argile qui souillait ses vêtements, ses chaussures.
Là, elle inspira une bouffée d'air comme si c'était la dernière puis s'élança. Elle avait tant de choses à lui dire. « Je ne crois pas en grand chose mais aujourd'hui je prie pour toi Percival Thorn. Où que tu sois. »

Elle écarquillait les yeux à s'en faire mal, comme si cela allait empêcher les larmes de déferler. C'était stupide, personne après tout n'était là pour la voir, pour la juger. Il n'y avait qu'elle. Elle était seule avec ses souvenirs et ses rêves piétinés.

«  J'ai cru que tu m'aimais, que tu croyais en nous. J'aurai pu tout abandonner pour toi, tu n'avais qu'à le demander. Mais tu n'as rien dit. Mais tu n'étais pas prêt à en faire autant. Mais tu es parti en sachant que tu ne reviendrais pas. Ça fait tellement mal. Auprès de toi je voyais le monde en plus beau, en plus grand, mais mon regard ne portait pas plus loin que mon ombre. »

Elle ramassa une poignée de cette terre rouge et effritable si caractéristique de son district et la saupoudra lentement au dessus de la tombe de fortune.

« Mais je te le jure, je ne serai plus jamais amoureuse. »


Elle avait pris ce train le cœur gonflé de promesses et d'espoirs, pensant qu'on lui offrait là une chance de tout recommencer à zéro, elle qui avait pris un si mauvais départ dans la vie. Après tout, son existence s'était jusque là résumée à une longue série d'échecs qui commençaient à envenimer son esprit, ses pensées, au point de la faire douter d'elle-même: elle avait été amoureuse, mais n'avait pas su garder son fiancé auprès d'elle et il était parti pour un voyage au bout de l'enfer. Il n'avait même pas essayé de lui faire croire à son retour, il savait qu'il n'en reviendrait pas. Elle avait échoué et s'était bercée d'illusions en pensant pouvoir échapper aux étroites mailles du large filet lancé par le capitole. Enfant carrière plutôt douée, elle s'était bien gardée de se porter volontaire lors des moissons et alors qu'elle avait toujours été fière de vouloir se protéger ainsi, même cela était devenu trouble pour elle. N'était-ce pas ce que l'on attendait des enfants du 2 ? Qu'ils soient courageux et consciencieux face à la mort ? Gisele, elle, n'y parvenait pas, n'y était jamais parvenue. En vérité, elle supportait de plus en plus mal d'y être confrontée. Là aussi elle avait échoué.
Ne lui restait plus que ce métier dans lequel elle s'était engagée tête baissée, se donnant toute entière, corps et âme, pour l'honneur bien entendu, comme si revêtir le blanc était pour elle le meilleur moyen de rendre grâce au Capitole, mais également parce que c'était le seul chemin qui s'ouvrait à elle désormais. Fut un temps où elle avait rêvé d'une famille, mais cette époque était à jamais révolue et elle épousait le célibat avec conviction.

Elle avait fière allure dans son costume de cuir blanc flambant neuf et se sentait prête pour déplacer des montagnes. Elle pensait que c'était ce qu'on attendait d'elle. Elle avait cœur et foi de devenir une héroïne aimée des foules, faisant régner l'ordre et la justice. C'est qu'elle avait un sens aigu de la justice et ne supportait pas de la voir bafouée. Elle fleurait bon la naïveté, pensait pouvoir faire table rase du passé.
Autant vous dire qu'elle frissonna jusqu'à l'échine en sentant pour la première fois le vent du district douze souffler sur son visage. L'air sentait fort le charbon et la houille mais cela avait l'avantage de masquer la puanteur fétide de toute une population sale et insalubre dont les hauts de ce monde se contrefichaient royalement. Gisele ne découvrit tout cela que bien lus tard. Pour l'heure, elle descendait juste du train de sa vie lorsque son cœur s'arrêta et que son sourire se crispa: elle n'avait jamais vu tant de visages hostiles en un même endroit, pas même lors des moissons de son district. C'était d'ailleurs très désagréable d'être la cible d'autant de haine. Ce fut là la première fois qu'on la mitraillait, qu'on la tuait d'un simple regard et, depuis ce jour, elle était morte des centaines de fois.

Certes décontenancée par ce triste incident, la jeune femme avait perdu tout son bel aplomb et s'avançait vers la foule la boule au ventre. Toute cette aversion qu'elle lisait dans les yeux des gens qu'elle croisait lui faisait soudainement peur et l'envie de leur crier quelque chose lui brûlait les lèvres. Pas des insultes, pas des menaces. Elle voulait, et le voulait brutalement, passionnément, qu'on lui laissa sa chance de prouver sa valeur et sentait la colère se déchaîner dans son bas-ventre, à la manière qu'ont les vagues de se briser sur les récifs: pourquoi la détester tout de suite, sur-le-champ, avant même qu'elle ait prononcé le moindre mot, qu'elle ait esquissé le moindre geste ? Ne me détestez pas criaient ses propres prunelles de charbon, si bien assorties à son nouveau district, mais sa bouche restait imperturbablement cousue, silencieuse, et les mots eux ne venaient pas. Gisele avait eu la ferme intention de respecter la procédure et la cérémonie de sa présentation au district, de ne surtout pas se faire remarquer dès son premier jour mais, n'en faisant qu'à son cœur, elle ne résista finalement pas à une petite fée qui lui tendit la main. C'était en fin de journée, on lui avait fait faire le tour du district, visiter sa maison et commencer à s'imprégner des lieux ; et puis une fillette crasseuse avait croisé son chemin et Gisele se souviendrait longtemps de cette rencontre fortuite: la petite avait craché à ses pieds avant d'arborer cet air venimeux qu'ont les gens désespérés. La toute jeune pacificatrice avait été extrêmement choquée. Elle n'avait pas dit un mot, juste pris la main de cette enfant, dans les yeux de laquelle elle avait soudainement vu briller l'effroi mêlé à la résignation, et y avait glissé un morceau de viande séchée dont elle avait toujours les poches pleines pour ce genre d'urgences. Sauf que tout ce district était en état d'urgence et à ce rythme ses poches se videraient bien trop rapidement. « Pacificatrice » Elle était là de ses pensées lorsque cette voix graveleuse retentit dans son dos. « Je ne sais d'où vous venez mais vous devriez savoir que le capitole tolère très mal ce type de comportement, qui plus est de la part de ses propres agents. Vous êtes nouvelle, vous le portez sur vous. » L'homme la dévisagea de la tête aux pieds. « Trop sensible. Trop entière » Un silence. « Idéaliste ? » Il ricana doucement puis leva les yeux au ciel avant de reprendre. Ses mots étaient un hachoir. « Si vous ne savez pas fermer vos yeux et votre cœur, vous allez devoir apprendre à le faire très rapidement. Vous savez, ici on marche ou on crève. » Gisele se sentait trembler comme une feuille et cela sembla amuser l'étrange fou. « Vous tiendrez pas longtemps. Dommage. »

Voilà le premier épisode dans le district douze touchait à sa fin. C'était sa toute première rencontre, le premier contact, avec ses nouveaux voisins. Il ne lui avait pas fallu longtemps pour comprendre qu'elle ne pourrait jamais véritablement faire partie de leurs, qu'ils ne l'accepteraient jamais telle qu'elle était, sans doute à cause de ce qu'elle représentait. Gisele n'était à leurs yeux qu'une marionnette du capitole, qu'une silhouette en blanc de plus dans leurs rues. Pourtant elle n'était pas leur ennemie et la jeune femme avait l'ardent désir de le démontrer.

Bienvenue au district 12

puisse le sort vous être favorable

Félicitations, te voilà officiellement membre du district douze ! L’étape de la présentation est désormais derrière toi, et il ne te reste que quelques détails à régler avant de profiter pleinement du forum. Et comme on est sympa, on va t’aider en te donnant les liens principaux. Pour bien t’intégrer, il te faut aller faire un tour du côté des liens, et poster ta propre fiche. Dans le district, tout le monde a un rôle à jouer. Tu peux voir le registre des métiers proposés proposés et recenser le tiens dans ce sujet. Enfin, tu peux créer tes scénarios si tu recherches des liens spécifiques. Par contre, si l'on se charge d'ajouter ton avatar au bottin, tu n'oublieras pas de recenser celui de tes scénarios une fois qu'ils seront achevés. Nous avons aussi une section pour mettre en contact membres et invités qui recherchent des liens particuliers sans passer par un scénario... N'hésite pas à y faire un tour!
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