FERMETURE OFFICIELLE DU FORUM merci à tous pour cette aventure! Si certains d'entre vous sont prêts à reprendre le forum, n'hésitez pas à envoyer un message à Cuutiie* sur Bazzart ou PRD. May the odds be forever in your favor
✻ I THINK I LOVE YOU. Tu te souviens de moi ? Nous étions dans la même école et dans la même classe ! Oh peut être n'étais-je rien de plus qu'un adolescent parmi tant d'autre et que tu ne m'avais pas remarqué, mais moi si ; je t'ai vu et je suis tombé de suite sous ton charme, comme dans un vrai conte de fée. Malheureusement, nous sommes dans le District Douze ; il n'y a pas de "ils vécurent heureux & eurent beaucoup d'enfants" et les pauvres ne se marient pas avec des princesses. J'eus bien cru que tu étais l'une d'elle en t'apercevant. Sans doute est-ce d'une raison pour laquelle jamais je n'ai osé te demander de sortir avec moi. Je me sentais si petit, faible et minable... Et même si tu m'aimais ? Et même si nous déciderons de fonder une famille ? Nos enfants pourraient être envoyés pour les Jeux. C'est pour cela que j'ai décidé de faire ce métier, recevoir un peu d'amour et en donner en retour sans jamais s'attacher. Mais que penses-tu de tout ça, toi ? // libre(f)
✻ PLEASE, NO. Tu me fais peur parce que tu incarnes l'autorité. Tu es une ou un Pacificateur(trice). Une nuit, tu m'as vu là dans le noir, en train d'attendre un client. Habituellement, lorsque je vois une personne en uniforme, j'ai déjà pris mes jambes à mon cou, dans l'ombre. J'essaye d'éviter un maximum les ennuis bien que ce métier me permet de vivre bien plus aisément que si je ne l'aurais pas. Mais tu m'as pris par surprise, et c'était trop tard. Tu m'as attrapé, capturé et sans doute avais-tu une idée en tête pour me briser et m'obliger à ne plus avoir cette mauvaise planification que de vendre son corps contre de la nourriture. Tu m'as puni à ta manière et depuis, je te crains et te fuis comme si ma vie en dépendait. Devant toi, je courbe littéralement l'échine pour ne pas à subir d'autres coups ou d'autres humiliations de ta part. Oui, à cause de toi, l'autorité me fait bien plus peur qu'à l'habituel. Mais ne compte pas sur moi pour arrêter ce que je fais présentement. Je veux aider ma famille et je le ferais quoi qu'il arrive. Bien qu'après ce qui est produit, elle est bien plus réticente à accepter ce que je fais. Peut être as-tu d'autre tours dans ton sac et que tu es au courant que je n'ai point eus l'idée d'abandonner aussi facilement, mais que tu attends le bon moment pour te montrer... // libre(f/m)
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Dernière édition par Lullaby E. Bluebird le Jeu 8 Mai - 15:15, édité 9 fois
Lullaby E. Bluebird
Ici depuis le : 19/04/2014 Messages : 257
Sujet: Re: ↣ when will my life begin. ✻ lullaby. Ven 25 Avr - 9:19
Dernière édition par Lullaby E. Bluebird le Ven 9 Mai - 15:47, édité 2 fois
Lullaby E. Bluebird
Ici depuis le : 19/04/2014 Messages : 257
Sujet: Re: ↣ when will my life begin. ✻ lullaby. Lun 28 Avr - 1:22
quote.
Les Garçons
ELIOTT "E." HENNESSY
the lucky boy + ne dis pas n'importe quoi, tu sais que tu as eus de la chance. ça, tu en as toujours eus. tu ne viens pas du douze, mais du un. tu aurais été un carrière si tu étais encore un enfant et moi j'aurais été ta proie en fuite avant de tomber dans tes filets. on aurait été ennemi si tu n'aurais pas fuis jusqu'ici. d'ailleurs, pourquoi as-tu fais ça ? le district un ne te plaisait pas ? oh mais ici, c'est pire... et c'est bien pour cela que j'ai envie de fuir. fuir très loin avec toi. parce que je me dis que si tu retournes dans le un, j'aimerais que tu m'y emmène aussi. moi et toute ma famille. j'aimerais aussi que tu me donnes un peu d'argent, où de quoi nourrir, mais tu refuses... arrête ! je sais que tu as gagné les jeux, ne me mens pas ! mais je t'en veux pas tu sais. je peux aisément dire que les carrières veulent gagner et ils gagnent toujours. je sais qu'ils obtiennent beaucoup d'argent même s'ils n'en n'ont pas forcément besoin. mais tu es sympa parce que toi et ta nouvelle famille me donne quelque chose. pas tout le temps, mais souvent. et puis, par moment, je viens aussi pour les histoires. tu grimaces lorsque tu parles de ton ancien district mais ça t'arrive par moment d'en parler et je t'écoute comme un petit enfant. j'ai l'impression que je t'embête à force de jouer les pots de colle, mais au fond, tu m'apprécies bien quand même un petit peu, non ?
RAIN A. KINGSLEY
the big bad peacekeeper + comme on dit toujours ; à trop vouloir jouer avec le feu, on finit par se brûler. j'ai joué avec le feu, et tu m'as trouvé là, à moitié nu, attendant un autre clients parce que tout comme moi, tu sais qu'ils possèdent tous plus ou moins quelque chose qui ne devrait pas leur appartenir. et moi, pauvre chose, je n'arrive seulement à vivre grâce à mon corps. je vends mes charmes et en retour, j'ai de la nourriture. mais j'ai pas le droit de faire ça. ça serait trop facile, n'est ce pas ? obtenir de la viande et être nourrit convenablement. j'ai l'impression que cet interpellation est injuste et pourtant ; c'est la loi. je tente de te supplier et de m'épargner de la faute dont j'ai bien pu commettre. je tente de me justifier. je ne fais pas ça pour le plaisir après tout. ça me dégoûte moi et sans doute, toi aussi. mais ça ne manque pas de me donner une image immonde de ma personne. un être pervers, appréciant faire ça avec n'importe qui. et attraper des maladies pour en refiler à d'autre. aussi, à mon plus grand étonnement, tu ne me traînas pas sur la place publique pour le fouet. ni même pour m'exécuter ou me couper la langue. après tout, je ne vole pas et je ne suis pas un trublion de rebelle. peut être même suis-je l'un des plus sages de tout les habitants du district douze... néanmoins, tu me fis une chose bien pire ; là, exposé comme une bête à la vue de tous, tu me mis un collier de fer, relié à un poteau et tu es partis, comme on oblige un chien à rester dehors. quelle surprise pour toutes ces personnes de me voir ainsi le lendemain, même pas rhabillé... j'ai souffert à cause de toi. tu me fais peur, tu n'es pas seulement un pacificateur, je pourrais te considérer comme un cauchemar vivant. à cause de toi, maintenant que je suis sans doute contraint d'arrêter mes activités, peut être es-tu celui qui me conduira à ma mort.
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