J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens]

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Clemens ÂpreCime

Vieux frères, c'est une nuit claire et silencieuse.

papiers d'identité.
nom : ÂpreCime est le nom hérité de son père. Sa mère, allez savoir quel nom elle portait et si elle aurait pu lui léguer, de toute manière il ne l'a jamais connue ... Oh et s'il vous plait, prononcez Aprè Cime, Apré Cime selon les accents, mais le premier qu'il chopera à dire Apreuh, il fait de sa vie un enfer jusqu'à ce qu'il clasme dans un caniveau de la Veine. prénom(s) : Clemens, comme Clemens Brentano, un poète d'un temps ancien que de toute manière, tout le monde a oublié. Sauf le père de notre protagoniste visiblement. Là encore, prononcez Clémence, mais n'écrivez pas Clémence, c'est pour les nanas, et Dieu sait que notre petit Clem est loin d'être féministe.surnom : Clem, mais seuls ses amis les plus proches l'appellent ainsi. âge : né un 19 Février, il a 24 ans, plein d'espoir, d'ambition et de courage pour sa vie à venir. Attendons qu'il déchante ... district de naissance : district 2 quelques traits de caractère : manipulateur, ambitieux, patient, souriant, sociable, cynique, adroit, cruel, égoïste, curieux, déterminé, loin d'être féministe. groupe : we make the rules. métier/occupation : Pacificateurs à ses plus belles heures. personnage : sorti de ma caboche rouillée sous le visage de : Pierre Niney, le beau le magnifique le tgdifjkxdf crédits avatar : lazarus pour l'avatar

sous le masque.
pseudo : mirror.wax, anciennement Ethna Knightprénom : Aude, mais tout le monde m'appelle Aud sur les forums, parce que visiblement le e est en option *pleure* âge : seize ans, presque dix-sept (dans deux mois ouaich) pays : Française de France profonde de l'Ouest ton avis sur le forum : biuxdkfxjdxd le header est à tmber, le design aussi, un grand bravo à the monster parce que c'est très attrayant vraiment ** au niveau du contexte c'est une super idée d'avoir tout concentré sur le district douze, j'ai franchement hate de voir les intrigues que vous allez pouvoir inventer ** un dernier mot : Je suis interne soooo ma présence, sauf exception (comme aujourd'hui) se résume à 2/7j ... mais vous inquiétez pas, le week end jsuis une machine à rp What a Face

ah et je kiffe les smiley rangés par couleurs. Nan vraiment ça va changer ma vie.

Code:: <t>Pierre Niney</t> ≈ clemens âprecime

may the odds be ever in your favor.
que penses-tu du capitole ? Si vous lui posez la question, il vous regardera et haussera un sourcil dédaigneux. Le capitol ? Y'a rien à dire dessus, tous des gosses pourris gâtés et des gérants d'entreprises friqués qui ont simplement hérité leur fortunes de leur parents : pas grand chose à en dire vous voyez ? Tous pareil, tous oisifs, et s'il y a bien quelque chose que Clemens déteste c'est l'oisiveté. Il faut occuper ses journées à faire quelque chose d'utile, pas à se pavaner dans les rues avec des habits fluo et tape à l'oeil. Sincèrement, où est l'utilité ? Le luxe n'a pas sa place dans un monde où il faut se battre pour avoir à manger. Mais voyez vous, Clemens est beaucoup trop calculateur et intelligent pour étaler son point de vue sur tous les toits, du moins au district 2, car il n'est pas forcément bien vue de ne pas prêter allégeance à la capitale. Il garde donc ses critiques pour le district 12 où, il 'en doute bien, elles seront forcément appréciées. Si en apparence c'est un bon petit chien du capitol qui fera tout ce qu'on lui ordonne de faire, en vérité il méprise tous les capitoliens qu'il pourra croiser ...
et les jeux, tu as un avis dessus ? Originaire du district 2, né l'année où les jeux ont été lancés, on lui a toujours appris que c'était un honneur immense que de faire partie des tributs sélectionnés. Son père, pacificateur et guerrier hors pair, a voulu faire de lui un carrière, ce qu'il est devenu bien malgré lui. Il n'est jamais parti pour les jeux et pourtant, les valeurs qu'on lui a inculquées concernant ce tournoi ne sont jamais vraiment parties ... On peut considérer que c'est un honneur comme un autre de gagner les jeux, de rentrer victorieux et d'être riche et célèbre pour le restant de sa vie. C'est bien la vision des habitants de son district après tout ... Mais pas la sienne. Car gâcher sa vie dans ce genre de connerie, nan très peu pour lui. Il connait la valeur de la vie, et la laisser dans un divertissement donné en l'honneur de capitoliens aussi oisifs que méprisables n'a, de son point de vue, rien de vraiment honorable. De là à renverser l'ordre établi cependant, il ne faudra toute de même pas pousser mémé dans des fils électriques ...
la plaque, tu connais ? tu y vas de temps en temps ou pas ? Il va être très difficile d'y répondre car à l'heure où je vous parler, Clemens vient d'être muté dans le district douze, un mois de cela à peine, par conséquent il connait la plaque comme tout pacificateur qui se respecte, mais il n'y s'est encore jamais rendu. Si un jour il y va, ce sera incognito ...
imagine, on t'offre un souhait. quel serait ton vœu ?
Sans aucune hésitation, si on lui offrait un seul et unique voeu, il voudrait connaitre sa mère. Parce que vous savez, ce n'est peut-être pas grand chose, c'est peut-être juste un parent manquant, mais voila justement, c'est un parent manquant. Et on ne peut imaginer le mal que cela fait à un enfant quand il grandit sans avoir eu une présence maternelle à ses côtés, sans savoir qui l'a portée dans son ventre pendant près d'une année, sans savoir d'où il vient. Son père n'a jamais voulu répondre à la moindre question concernant cette femme qui lui a donné la vie, alors Clemens, lorsqu'il était petit, s'imaginait qu'elle était une grande princesse dont on ne devait pas connaître le nom sans mettre sa vie en danger ... Et puis en grandissant, elle est devenue une fille de district sans avenir que son père a baisé pendant une de ses tournées dans les différents district ... Peut-être qu'elle est morte en lui donnant la vie, peut-être qu'elle voulait pas d'un gosse, peut-être qu'elle ne l'a jamais aimé ... mais c'est son père qui a eu sa garde au final. Alors oui, il voudrait la voir, lui parler, la toucher, et savoir enfin ce que ça fait, d'avoir une mère ...

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partie histoire

Histoire d'un autre poète allemand.

27 Juin Sept ans

« Tiens toi plus droit ! Esquive ! Encore ! Encore, plus vite ! »

Le petit garçon est essoufflé, trempé de sueur et surtout épuisé. Son regard se brouille fréquemment alors que ses jambes menacent de le lâcher à tout moment. Pourtant il lutte, il lutte encore et encore et esquive les coups de son père. Son souffle lui manque cruellement et il profite de quelques instants de répits pour le reprendre, mais c’est sans compter la détermination de son père à le faire tomber. Il esquive, saute, recule de trois pas, contre-attaque, mais celle-ci est mal menée et rapidement son adversaire reprend l’avantage. Il le pousse à bout, le garçon essaye d’esquiver mais rien à faire, l’homme en face est plus grand, plus fort. Il grand coup d’épée en bois sur l’épaule. L’enfant pousse un gémissement de douleur contenue, comme si dans ses derniers retranchements il parvenait encore se retenir de crier. Il tombe sur les genoux, puis la face contre terre. Il s’aperçoit précisément à cet instant qu’il est à bout de force, qu’il a envie de retomber dans un sommeil profond dont son père l’a sadiquement tiré. Il ferme les yeux en essayant de s’endormir, mais rien n’y fait, son corps est beaucoup trop lourd et endoloris.

« T’es incapable de te relever ? »

Aucune réaction de la part du principal concerné. Ses paupières se font très lourdes. Il essaye de reprendre son souffle comme il peut. Il n’a même pas envie de se relever tellement tout son corps le lance. Il sait qu’il devrait mais il en est tout simplement incapable, comme le dit son père. Il l’entend souffler fort. Le cœur de l’enfant se tord dans sa poitrine, à l’idée de l’avoir déçu. Il entend les pas qui se dirigent vers lui. Est-ce qu’il va le tuer ? L’idée passe un quart de seconde dans son esprit avant de penser que ce serait totalement impossible. C’est son père après tout. Alors est-ce qu’il va le battre ? Lui faire une morale et le traiter de bon à rien. Les pas s’arrêtent à quelques centimètres de son visage. Il ferme fort les yeux, en attendant la sentence. Il sursaute violemment lorsque des mains se posent autour de sa taille et de son épaule, il se tend encore plus lorsqu’il a l’impression de voler. Il ouvre doucement les yeux. Mais non, c’est juste son père qui le prend dans ses bras. Il murmure, peut-être avec un sourire :

« Bon j’y suis peut-être allé un peu fort, qu’est-ce que t’en penses Clem ? … »

Peut-être ? Sans doute serait une expression plus juste. Ce n’est pas la première fois que son père se montre aimant, un tout petit peu aimant, mais c’est la première fois que Clem le ressent aussi fort. Il sourit très légèrement et avec une voix cassée, dit :

« Juste … juste un petit peu … »

Le père lève les yeux au ciel et déclare bruyamment :

« Qui m’a donné une tapette comme fils ? Qu’on me donne un nom ! »

Le regard malicieux que lui adresse son père achève de le faire sourire. Il devine alors qu’il s’est bien battu. Parce que ces entrainements quotidien à l’art du combat durent depuis que Clemens peut tenir debout, soit depuis ses trois ans. Il en a sept aujourd’hui, et il comprend que l’art du combat est quelque chose qui va lui servir toute sa vie. Il se pelotonne contre le buste de son père, comme s’il n’avait plus du tout mal. Il s’endort rapidement, et lorsqu’il se réveille, la nuit est tombée depuis longtemps, il est allongé dans son lit et son père est endormi sur un chaise, près de lui.

14 Avril Dix ans

« Les jeux de la faim. »

« Oui évidemment que je les connais. »

« Et tu sais aussi que ce sont souvent nos carrières qui remportent ces jeux n’est-ce pas ? »

Clemens découpe la viande distraitement en écoutant le discours de son père sur les jeux de la faim. Il dit que c’est un honneur de gagner ces jeux, un plus grand honneur encore de mourir en héro dans ces jeux. Le petit garçon fronce les sourcils en écoutant son père, sans vraiment comprendre ce qu’il entend pas honneur. Pour lui, il vaut mieux vivre des tas d’expériences incroyables, une vie de voyages pour connaître tout ce qu’il y a à connaître plutôt que de mourir bêtement dans une arène pour des gens qui vous oublieront deux jours après votre mort. Mais il subit le discours de son père de toute manière, il écoute, il écoute encore et encore et décidément non, il ne comprend pas. Il est beaucoup mieux à s’entraîner et à lire tout ce qu’il lui tombe sous la main plutôt qu’à penser à la gloire d’une mort futur …

« … et je vais donc dés demain t’inscrire dans le centre d’entraînement des carrières. »

Il manque de s’étouffer avec ses petits pois lorsqu’il note cette phrase. Son père fronce les sourcils d’un air dur. Clemens le regarde, hébété, essayant de comprendre. Il lâche, avec une voix étonnée :

« Mais … mais père je ne … »

« Clemens je t’ai entraîné depuis ton plus jeune age parce qu’il faut que tu saches que dans ce monde, tout se gagne. Tout se gagne, souvent par la force. Tu sais te battre beaucoup mieux que la plupart des pacificateurs des plus pauvres districts alors que tu n’as qu’une dizaine d’année. Tu comprends ? »

Clemens bafouille quelque chose, avant que son père ne lui coupe la parole :

« Oui je comprends mais … »

« Et donc pas conséquent, les meilleurs chances pour toi de gagner de l’argent, de la renommée et une certain influence sont de participer à ces jeux. Je ne te laisse pas le choix. »

S’en suit un silence de mort absolument abominable durant lequel Clemens essaye de comprendre. Il baisse les yeux, crispent sa main sur le rebord de la table. Son père lui demande de mourir. C’est tout ce qu’il comprend. Il lâche, pétrifié :

« Père vous … vous m’aimez donc si peu que vous avez envie que … je meure … ? »

La phrase reste en suspens. Le père pousse un long soupir avant de répondre, d’une voix lasse :

« Ne dis pas de bêtises tu ne v… »

« Mais c’est ce que vous me demandez de faire ! De mourir bêtement ! »

Clemens relève le regard vers son père. Et c’est un miroir. Car aucun des deux ne cédera, aucun des deux ne veut perdre face à l’autre. Ils se défient, l’un l’autre, ne voulant pas perdre la face et rendre les armes. Son père déclare, lentement :

« Tu es mon fils, et tu feras ce que je te dis de faire. »

« Mais je ne veux pas mourir.»

« Tu ne … »

Le coupant, Clemens déclare :

« Si j’avais une mère, elle me protègerait et elle m’empêcherait de mourir dans une connerie pareil ! »

Le poing part de lui-même. Le père se lève, comme en furie, dresse le poing et l’abat contre son fils. Mais il a le temps de voir le coup venir, et il parvient à esquiver en se levant à temps et en se déportant sur le côté. Il se met en garde, prêt à parer les coups. Mais tout ce qu’il voit en face de lui c’est un homme furieux prêt à le frapper à mort si besoin est. Il hurle :

« TU FERAS CE QUE JE TE DIRAIS ! »

Cette fois Clemens ne répond rien. Sa mâchoire tremble affreusement. Il abaisse les poings, regarde son père dans les yeux. Puis fonce vers la porte d’entrée avant de débouler sur la rue. Les gens le regardent, à la fois amusés et surpris. Il court, plus vite et plus, aussi fort que ses jambes musclées par les années d’entrainement forcés peuvent bien le porter. Il se mord la lèvre, mais il continue de courir en bousculant les gens, avant de se réfugier dans une petite ruelle, de s’appuyer contre un mur, et de commencer à donner des poings dans le vide. Comme pour extérioriser une colère quasi invisible.

Et il est sûr, à cet instant précis qu’il s’est toujours trompé et que son père ne l’a jamais aimé.

23 Décembre, Quinze ans

« Au corps à corps j’suis une bête, tu me vaincras jamais. »

Clemens hoche doucement la tête en fixant le gars en face de lui. Un type de dix-huit ans qui va se porter volontaire aux prochains jeux. Le plus jeune a hâte de le voir à l’œuvre. Il l’a déjà observé plusieurs fois au centre d’entrainement, en effet il est bon au corps à corps, l’épée encore plus, le tir à l’arc on repassera et quant au reste des disciplines, il les maîtrise plutôt bien. Clemens lui, ne vient que pour faire de la figuration ou pour s’entraîner un peu avec les armes qu’il n’a pas chez lui, si bien que personne ne connaît son niveau au corps à corps. Il sourit légèrement lorsqu’ils se mettent en garde. Celle de ce type est parfaite. Bien meilleure qu’il ne l’aurait imaginé. Il est massif, imposant, des muscles saillants aussi. Clemens se mord légèrement la lèvre, tic qu’il prend à chaque fois qu’il réfléchit un peu trop fort. Autour d’eux, un cercle s’est formé pour assister à la bataille. C’est juste un entrainement. Il entend chuchoter des « mais c’est qui lui … » « «’L’ai jamais vu … » « il est bon ? » Oh ça, il est plus bon que vous ne pouvez le croire. « Il tiendra pas deux secondes contre Kai. » Kai, précisons que c’est la brute épaisse en face. En comparaison, Clem a l’air d’une vraie brindille flottant au vent et menaçant de se briser toutes les minutes. Il respire un grand coup, observe et cherche une feinte dans la garde de l’autre. Redoutablement bien tenue.

Au moment où il s’y attend le moins, Kai attaque, s’élance en avant avec un poing meurtrier. Un écart de côté et Clem l’esquive facilement. Il note toutes les faiblesses de cette attaque et commence à dresser un portrait de son adversaire. L’autre reprend, avec beaucoup plus de vitesse, si bien que Clemens doit parer avec ses deux bras, sans pouvoir se dérober. Il se mord la lèvre. Des murmures se font bientôt entendre dans la salle. Tous les carrières sont à présents réunis autour d’eux. Les plus jeunes semblent effrayer de la force brute de Kai qui menace à tout moment de briser les avant-bras de Clem tandis que les plus vieux rient bruyamment devant la détresse de Clem. Il cherche à tout vitesse une solution.

Il tente le tout pour le tout. Profitant de sa fine taille et de sa souplesse inconnue pour Kai, il se penche en arrière, relâchant la pression sur les deux bras et faisant perdre l’équilibre à son adversaire. Celui-ci écarquille les yeux alors qu’il tente de rester debout e Clem, profitant de ce moment d’inatention, se décale légèrement, achevant de le faire tomber au sol. Une fois debout et lui au sol, il prend l’avantage, et, une fois Kai perturbé et plus aussi sûr de lui, le donner une raclée n’est plus qu’une formalité. Clemens se ballade d’esquive en esquive, gagnant en assurance et en rapidité à l’inverse du pas un peu lourdaud de son adversaire. Un sourire orne son visage alors qu’il le frappe, coup sur coup. Il parvient à le faire tomber, et pose alors un pied sur sa nuque. Avec un ton désobligeant et naïf, le plus jeune déclare :

« Elle vient cette raclée ? Allez imagine que j’suis un carrière du un et qu’on est dans l’arène, t’es censé me buter là hm ? »

L’autre pousse un grognement féroce en se relevant mais l’issue reste la même : Clemens a réussi à l’ébranler. Il déclare, tout en esquivant ses attaque :

« Quoiqu’un carrière du un c’est un peu trop compliqué pour toi, imagine plutôt que j’suis une fille du douze, ce sera plus à ta portée tu crois pas ? »

Cette remarque achève de lui faire perdre son calme. Clem en profite alors pour le faire tomber à nouveau, cette fois se mettant en même temps à genoux pour poser une main sur son menton, l’autre entourant son cou. La fin du combat en somme.

« Si j’étais pas un type extrêmement gentils tu serais mort à l’heure qu’il est. J’ai gagné hm ? »

Il le relâche en souriant, avant de s’écarter doucement, d’un pas léger et sans faire le moindre bruit. D’ailleurs à ce moment dans la salle, plus aucun son ne perce. Car personne ne s’attendait à ce que Clem, ce type qu’on ne voit que tous les quatre matins et qui s’entraîne toujours dans son coin, adressant la parole aux filles seulement pour les draguer et seulement aux gars pour des conseils intéressés, oui celui la, gagne contre Kai. La bête. Le champion.

Au final Kai est mort dans le carré des vainqueurs, l’édition suivante.

17 Mai, Dix-huit ans

C’est lui le favoris. C’est lui qui va se porter volontaire et qui va gagner. C’est lui qui va revenir victorieux au district et c’est lui qui va faire la fierté de son père. Son regard est droit et assuré. Il fixe l’hôte du district deux avec un mélange de passivité et de mélancolie. Il va falloir qu’il lève la main, qu’il regarde tout le monde, on va prononcer son nom et la suite on la connait tous. Il va aller dans cette arène, il va se battre. Et il va mourir. Oui c’est ça. Parce que c’est ce que font tous les carrières, chaque année, la fille et le garçon le plus performant du centre sont désignés pour se porter volontaires à la moisson. Cette fois c’est sur lui que se sont portés les attentes du district. Il n’a pas le droit de les décevoir, ni eux, ni son père, ni personne d’autres.

Le nom de la fille résonne. Ca va être à lui. Il va lever la main après avoir entendu le nom du désigné.

« Lavi Keenan. »

Lavi Keenan. Allez. Lève la main Clem, lève la main et dit que tu es volontaire. Tu sais te battre contre les meilleurs carrières, tu es le meilleur carrière, alors vas-y, qu’est-ce que tu attends ? Il suffit de lever la main. Il suffit simplement de lever la main. Tu as fait mille fois pire dans tes différents combats, tu as battu des dizaines d’adversaires, tu sais tout faire, qu’est-ce que tu attends ?! Tous les regards se tournent vers toi, évidemment tu es censé lever la main. Comme c’était prévu. Lavi est entraîné par les pacificateurs, il passe dans l’allée, près de toi, il te regarde et te jette un regard implorant. C’est le petit frère d’un de tes amis. C’est pas prévu comme ça, allez lève la main Clem. Lève ta main ! Pourquoi t’es paralysé comme ça, c’est simple comme bonjour, qu’est-ce que t’attends ? Pourquoi ta bouche est sèche, pourquoi tu as la tête qui tourne. Pourquoi t’as beau regarder autour de toi tu ne vois que des gens qui te fixent sans comprendre le malaise qui prend place dans ton corps. Tu serres les poings. Tu ne peux pas lever cette main. Tu subis, impuissant, le discours de l’hôte, tu as la vague impression que personne ne regarde l’estrade, que tout le monde te regarde toi. Ca va être trop tard. Ils vont s’en aller. Mais bouge. Bouge. Clem.

Lève ta MAIN !

« Pourquoi t’as pas levé la main ? »

Clemens regarde ses pieds. Son père, assis dans un grand fauteuil qui le rend incroyablement petit, le regard, avec de petits yeux fatigués, l’air de dire « jamais tu ne feras ce que je te dis de faire ? » Le carrière baisse les yeux et lâche, avec une voix fatiguée :

« Parce que je … »

« Je vais te le dire moi, parce que t’as pas de couilles. »

Il ouvre la bouche pour répliquer quelque chose, mais il n’en a pas la force. Parce qu’au fond, il sait que son père a raison, encore une fois. Il n’a pas eu le courage de lever la main, et il n’aura plus jamais l’occasion de se rattraper. Il lève les yeux au ciel en soupirant et déclare, las :

« J’ai jamais voulu aller à ces jeux. Et vous le savez très bien. »

« Ca n’a jamais été une option jeune homme. »

« J’ai dix-huit vous ne … »

« Je t’appellerais de la manière que tu mérites, et crois moi, tu ne mérites pas grand-chose. »

Leur regard sont fixés l’un dans l’autre. Clemens ne sait pas quoi dire, il sait seulement que son père a raison, et que c’est une mauviette. La risée du district qui n’a pas su montrer une once de courage pour prouver sa valeur. Mais enfin, est-ce donc si honteux de tenir à sa vie ? Est-ce donc être une tare que d’avoir peur de mourir ? Pourquoi lui reproche-t-on de ne pas avoir eu envie de mettre sa vie en jeu ? Il serre les dents et déclare, d’une voix forte, comme pour reprendre ses moyens :

« Je n’ai pas envie de mourir. »

A sa grande surprise, son père ne dit rien. Il a le regard perdu dans le feu qui crépite doucement dans la cheminée. Même les printemps sont frais dans le district deux … Clemens contourne le fauteil pour venir s’adosser à la cheminée, afin de regarder son père dans les yeux. Il reprend :

« J’ai accepté d’aller dans ce centre d’entraînement parce que je voulais vous rendre fier, parce que je ne voulais pas vous décevoir. C’était il y a huit ans, huit longues années passées dans cet endroit sinistre dans le seul but d’offrir ma vie sur un plateau à des hypocrites qui n’en auraient rien eu à faire de ma mort. Si j’ai accepté de devenir carrière c’était simplement parce que je … je voulais plaire à ma seule famille, à vous. »

Il s’arrête dans sa tirade, prenant le temps de penser à la suite. C’est tout Clem ça, toujours réfléchir à la suite, toujours anticiper un peu trop. Il baisse les yeux et reprend le fil, avec une certaine douceur :

« Vous m’avez appris qu’il fallait se battre pour survivre. Moi je vais vous apprendre que parfois, il faut s’écarter des conflits pour survivre. Je hais ces jeux, vous comprenez ? Je les ai du plus profond de mon cœur, et je ne comprends pas comment des gens peuvent les approuver, vous en particulier. Vous ne m’avez jamais dit pourquoi vous teniez tant à ce que je risque ma vie dans cette arène, et longtemps j’ai cru que vous faisiez tout cela simplement pour me voir mourir. Mais c’est faux n’est-ce pas ? Vous m’aimez. Comme un père aime son fils. Et au fond je crois que c’est pour ça que je ne me suis pas porté volontaire. »

Il se tait, attendant que son père fasse le rapprochement seul. Au final il le fait sans doute très rapidement, mais sachant se faire désirer, il reste le regard fixé dans le feu. Il lâche alors, dans un souffle :

« Tu voulais vérifier cela ? Savoir si l’affection que je te porte ne tenait qu’à ce que tu me rapportes un prix de vainqueur des hunger games ? »

Un silence assourdissant s’abat sur le salon. Toute la discussion se fait sur un ton monocorde, et pourtant tout semble si blessant dans leur propos, si fort, si puissant. Comme si après cette entrevue, leur relation s’en trouverait définitivement changée. Clemens secoue la tête de bas en haut, très lentement, approuvant ce que vient de dire son père. Celui-ci le regarde en face, enfin, lorsqu’il reprend :

« Tu avais les capacités de gagner. C’est ça qui me bute. Tu les aurais tous écrasé, je t’ai formé pour ça, tu étais le meilleur Clem, à sept ans tu me tenais tête gamin, rends toi compte ! Je voulais que tu … que tu ais une vie meilleure en sortant de ces jeux. Je ne doutais pas un instant que tu ne gagnes. Tu as joué au lâche, peut-être t’en mordras-tu les doigts … Mais avec ou sans ce titre, tu restes mon fils. »

23 Septembre, 18 ans.

[b]« Nous avons la chance d’avoir dans cette salle une stare. Applaudissez bien fort Clemens ÂpreCime s’il vous plait messieurs, le célèbre carrière ! »

Un silence de mort, très certainement attendu par le pacificateur en chef, prit place. Clemens ne se décomposa pas, tenant un regard à la fois dur et vide vers ce type. Pour qui se prenait-il … Pourquoi ressortait-il ce vieux dossier comme ça … Il avait beau le détaillé, il ne le reconnaissait pas, et il ne voyait aucune raison pour que celui-ci veuille détruire sa réputation, déjà inexistante. Tout le monde au district savait à présent que Clemens ÂpreCime n’était qu’un lâche doublé un peureux qui avait envoyé par son absence d’action, un innocent à la mort. Parce que lui n’était pas plus innocent que le pauvre garçon qui avait servir de pâture aux juges pendant la dernière édition peut-être ? La réponse était : non, car lui était un ancien carrière et que lui n’avait aucun droit de ne pas s’être porté volontaire. C’était une machine à tuer, pas un homme, une machine qui avait désobéi à ses maîtres et qui ne s’était jamais porté volontaire. Il était méprisé et méprisable, aux yeux de tous le district deux, mais au final, il n’en avait plus rien à faire. L’entraîneur reprit, avec un sourire mauvais et désagréable :

« Allez quoi, même pas un petit applaudissement ? »

Aucun son ne retentit, mais Clem ressentit clairement l’animosité qui émanait de tous les jeunes hommes ici présents, tous les jeunes hommes qui, comme lui, voulaient devenir pacificateur. Certains, il les connaissait, d’ancien carrière qui n’avaient jamais atteint le bout de leur formation, d’autres qu’il avait déjà vu se battre de temps en temps dans les rues, d’autres encore qu’il n’avait jamais croisé. Des hommes qui le haïssaient pour son absence de courage. Des hommes qui le méprisaient pour sa lâcheté. Et lui n’en avait strictement rien à faire. Il sentait simplement que personne ne l’applaudirait tant qu’ils ne seraient pas forcés et contraints sous la menace. Il gardait le regard droit et ferme, sans jamais changer d’angle de vision, les yeux perdus dans le vague de son supérieur. Celui-ci reprit, avec un regard noir et un sourire qui ne laissait rien présager de bon :

« Le dernier à applaudir ce type sera viré du cursus de formation des pacificateurs. »

Ils applaudirent tous en même temps.

Ce fut une des humiliations dont Clemens fut la victime qui le marqua le plus. Parce que des rabaissement dans ce genre, ne croyez pas qu’il n’en a pas vécu à la pelle depuis ce jour terrible où il ne s’est pas porté volontaire pour les hunger games, sauvant sa peau et tuant sa réputation de carrière.

De ses 19 jusqu'à ses 24 ans.

Vous savez, la formation de pacificateur est beaucoup plus difficile qu’on ne pourrait le croire. Il faut avoir un sens de la discipline et de la rigueur aussi aigue que ses capacités de combat. Parce qu’au final, Clemens est un excellent pacificateur, dévoué au capitol certes, adorant les jeux et trouvant une justice dans cette ignoble boucherie. Oui, Clemens est ce genre de pacificateur, à l’exception près qu’il est un très bon acteur. S’il répond oui oui à toutes les demandes du capitol, s’il est ainsi en tête de liste des meilleurs pacificateurs de sa promo, c’est simplement parce qu’il comprend le jeu du pouvoir à Panem. Il s’agit simplement d’agir comme le capitol veut que l’on agisse, et à partir de cela, on ne peut pas faire de vague, on ne peut pas avoir de chance d’être repéré, dans des mauvais termes. A l’aube du moment où Clemens va devoir partir pour faire régner l’ordre dans le district douze, il lui semble que son idéal de justice va devoir être rangé profondément au fond de sa poche. Car ce qu’il veut avant tout, c’est survivre

Dernière édition par Clemens ÂpreCime le Sam 1 Mar - 14:19, édité 5 fois

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Pierre Niney J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 1116443057

Mais quel choix, sérieux J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 4149303268

Et hâte de voir s'il sera un pacificateur droit dans ses bottes ou corrompus J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 1776730065

J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 1776730065

En tout cas, sois le bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche!

**Joe Sewell** Ici depuis le : 19/02/2014 Messages : 257

le nom sonne un peu poétique, j'adore J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 3308469779

et puis pierre I love you

ça devrait être interdit tant de perfection J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 3848291310

bienvenue parmi nous J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 2476279547

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BWAH ZETES AU TAQUEEEEEEEEET

scylla, à vous de décider, puisque je pense que mon perso va débarquer au district douze en même temps que le forum démarre, donc il connait rien ni personne héhéhéhé ** sid'orsetdéjàunliend'intéresseje//SBAAAAF

selyse, ton pseudo est sublime (j'adore le prénom on dirait un nom de fleuve irlandais prend le bien hein). Mhuahahah trop gentils pour la perfection voyons je mérite pas tant de compliments hihi *passe avec le chapeau* mais c'est cool de voir des admirateurs de pierre **

merci à toutes les deux

Ici depuis le : 23/02/2014 Messages : 459

Pierre Niney... Comment te dire que ce choix est... PARFAIT J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 4149303268

Un collègue MÂLE pacificateur en plus J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 2176480639

Mon beau, tu me dois un lien J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 2544492835

Parce qu'avec un pseudo pareil et tout ça, je le réclame *-*
Bienvenue en tout cas et bonne chance pour ta fiche J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 2476279547

Invité Invité

on fait difficilement plus docile que scy, donc si corruption il y a, elle ne viendra pas de moi! mais compte sur moi pour nous dénicher un lien une fois que j'en saurais plus sur Clemens!

Invité Invité

jvais ouvrir un mémo pour noter tous les gens à qui je dois des liens (décidément super idée de ranger les smileys par couleur vraiment ** )

Nath : c'est si rare les mecs pacificateurs ? tu mfais peur bkfixudjfxnd MEUH NAN JRIGOLE 8DDD enchantée de te connaîtrez cher collègue mhauhaahahah merci pour les compliments sur le pseudo, c'est dingue jl'ai choisi limite au pif et tout le monde kiffe *lucky girl i am*

Scyla : t'es un mentor, forcément jvais te kiffer ** j'ai un gros souci avec les mentors depuis que j'en ai joué une pendant presque un an sur un forum hg, j'adooooooooooooooore les vainqueurs alors on VA trouver quelque chose **

Ici depuis le : 26/01/2014 Messages : 968

HAAAN PIERRE. quel trop trop bon choix ! et puis ce pseudo de ouf. de un, il lui va trop bien et de deux il va bien aussi à un pacificateur. j'ai vraiment hâte d'en lire plus ! en attendant, BIENVENUUE parmi nous ! bon courage pour ta fiche, n'hésite pas si jamais tu as besoin de quoi que ce soit.

Invité Invité

rosaë : JE REVE OU C EST FAUVE TA SIGNA ?? GENRE ... GENRE FAUVE KWA GENNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNRE FAUVE

ils sont passés près de chez moi y'a trois mois quand jles connaissais pas encore j'ai honte jle vis mal ...
merci en tout cas c'est trop mignon ** t'es northern lights omg jsuis tes signa sur bazzart *-* *-* c'est toi qu'a fait les codes du forum ? si oui alors on reconnait ton style, si non alors jvais me planquer dehors avec un sac sur la tête ok ?

Ici depuis le : 23/02/2014 Messages : 459

En gros, je suis le seul mec pacificateur validé pour le moment donc oui, c'est plutôt rare pour le moment J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 163374961

J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 163374961

Non mais j'me sens seul entouré de toutes ses femmes moi J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 3308469779

Invité Invité

Que des femmes pacificateurs ? ... Clem le macho va kiffer hhihi xDDD t'inquiète je lâche pas cette perle de fourm, tu peux compter sur moi pour t'épauler dans ta quête de TESTOSTERONE

Ici depuis le : 19/02/2014 Messages : 198

excellent choix d'avatar et je suis fan de ton pseudo
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche

Ici depuis le : 26/01/2014 Messages : 968

moooooh eh bah dis donc. oui c'est bien fauve dans ma signature hihi. t'es un amour, c'est adorable. et euh bah vraiment pas beaucoup, en grande partie c'est scylla qui a codé le forum j'me suis juste occupée des fiches de présentations. mais t'as pas besoin d'un sac sur la tête, sinon on n'verra plus ta tête, alors pas question.

Ici depuis le : 19/02/2014 Messages : 155

Que de pacificateurs J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 299882670

Très joli choix de pseudo et d'avatar !
Bienvenue parmi nous J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 3574705997

Invité Invité

Silas : j'ai regardé da vinci code y'a deux heures omg xDDD le moine fou s'appelle silas j'ai PEUUUUUR xDDD maismercic'estgentils **

Rosaë : En fait jpensais surtout aux codes des fiches de présa, jconnais pas trops les codes du css donc ... jfais surtout gaffe aux codes simplissimes du coup OUI C EST BIEN TON STYLE et OUI JME SUIS PAS TROMPEE donc pas besoin de sac ah bah tiens j'écoute hauts les coeurs là (omg l'intro est tellement ihrtdjkrtd)

Khalan : merciiiiiii c'est trop gentils **

les gens jpasse plusd e temps à vous répondre qu'à bosser ma fiche ça va pas DU TOUT

Ici depuis le : 26/01/2014 Messages : 655

Bienvenue à toi :D
N'hésites pas si tu as des questions J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 425053109

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PIERRE NINEY. Mais quel choooix. J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 4149303268

La Frenchtouch

.

Bienvenuuue J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 1116443057

Invité Invité

pierre bon choix d'avatar
bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Invité Invité

Bienvenu

J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens] 3467503295

Ici depuis le : 19/02/2014 Messages : 257

YVES SAINT LAURENT. ce film est une pure merveille, il vaut vraiment le coup je trouve et puis Pierre est parfait dedans. bref bienvenue parmi nous et j'exige un lien.

Invité Invité

WOW JME REVEILLE ET VLAN TROP DE REPONSE bwaaaah vous gérez

Yoli : merciiiii ** j'y manquerais pas promis

Prométhée : bwah quel pseudo ET QUEL RYAN GOSLING AVATAAAAAAAAR :bave:jo meurs

Aidan : merciiii ** jconnais pas le tiens mais jle trouve vraiment très très très très très beau ow et jviens de voir, t'as "de ceux" de FAUVE DANS TA SIGNA MAIS JE T AIIIIIIIIIIIIIIIME DRKITXDJFXND *moi aussi *

Fantasy : lilycollins trixduhkxfjndolixjdkn merciiii ** en plus jviens de voir que dans ta signa t'avais cité MS MR rien que pour ça je t'aime

Julian : TOI AUSSI T AS PUISSAMMENT KIFFE YSL ? :red:jte rajoute à la liste de gens que jvais harceler pour un lien parcequelachowskivoilaquoi

/me s'attaque à la fiche

Ici depuis le : 21/02/2014 Messages : 218

euuuuh, marry me? non parce que j'ai envie de dire, quel choix d'avatar absolument, gigantesquement, parfait? Pierre est le plus beau YSL de tout l'univers
alors bienvenue parmi nous, il nous faudra un lien, normal entre collègues.

Invité Invité

Bienvenue parmi nous, courage pour cette fiche

Invité Invité

EIWDRUKSJDNRWSED AIDAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN TURNEEEEEEEEEEEEEER JE MEURS JE *meurs*

AIDAAAAAAAAAAAN

/me re meurt

ce mec est mon fantasme ultime etmerciii jviendrais très très sans doute te quémander un lien

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J'ai l'impression d'être un puzzle avec une pièce manquante ... [Clemens]

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