we'll never be royals
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| | (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. | |
| Auteur | Message |
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Rosaë LionheartIci depuis le : 26/01/2014 Messages : 968 | Sujet: (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. Mer 19 Fév - 13:36 | |
| prénom(s) nompetite citation ici | papiers d'identité.nom : au choix. prénom(s) : au choix. surnom : au choix. âge : entre 24 et 28 ans. district de naissance : capitole ou au pire, district deux. quelques traits de caractère : impulsif, loyal, distant, lunatique, juste. groupe : we make the rules. métier/occupation : pacificateur. statut social : disons que c'est plus compliqué que ça. sous le visage de : au choix. crédits avatar : another.pan. un peu d'histoire.l'histoire est trèès libre, je donne juste certaines pistes, mais au pire, tout est quand même négociable, ce personnage doit avant-tout être le votre. - il est né au district deux et y a vécu jusqu'à ses 15 ans. ses parents étan prisés au capitole, il y allait fréquemment. - son père était pacificateur aussi, au district 4, et dès lors qu'il a cet âge, il l'a alors emmené avec lui là-bas, pour le former. - il est mort lorsqu'il n'avait que 19 ans, et il a donc pris sa place, avant d'être envoyé au 7, puis du 8 jusqu'au 12 petit à petit. - il peut être là depuis quand vous voulez, c'est vraiment au choix, de quelques mois à quelques années, comme vous voulez ! au niveau de sa place au sein des pacificateurs, je le vois très juste, loyal, il déplore la misère au douze mais se plie aux règles que lui imposent son poste. de plus, il est très estimé par le chef des pacificateurs, et se doit donc "d'être à la hauteur". |
remember who the real enemy is.rosaë lionheart ≈ C'est là qu'il me tombe dessus, que son ombre m'envahit avant même que je ne puisse réagir. « Tiens donc. Encore toi. Je savais que tu passerai par ici, aujourd'hui. Il a fait beau, j'imagine que la chasse a été bonne ? » Ses mots me hérissent le poil. Je dévisage le Pacificateur avec un mélange d'effroi et de défi. Mes mains se resserrent sur ce que je porte. Il s'approche, mais je ne recule pas, de telle façon que nous sommes tout près à présent. Je fais la fière, mais à l'intérieur, mon coeur fait des saltos arrières. Il pose son regard ténébreux dans le mien, tout au fond, comme s'il pouvait lire en moi. « Montre. » m'ordonne-t-il de sa voix impériale, grave et chaude à la fois. Les mains tremblantes, je m'exécute pourtant. Il sait que je viens de la forêt. Ce n'est pas la première fois que je le vois, celui-ci, mais il m'a toujours épargnée d'un contrôle. Je sais maintenant que c'était pour mieux se préparer, m'espionner, connaître mes habitudes. Il doit bien avoir presque dix ans de plus que moi, ou moins peut-être – je vous l'ai dit, je suis nulle avec les âges. « Tiens donc, intéressant tout ça. » Il retire sa main, sans rien avoir pris. Si ce n'est pas un corrompu qui se nourrit aussi de contrebande, c'est qu'il va me faire passer un sale quart d'heure. Ou m'emmener directement à la Grand-Place. Fouet ? Exécution directe ? « J'peux vous en donner un peu, si vous voulez. » Ce qu'il ne sait pas, c'est que j'peux pas tout lui laisser. Que j'ai besoin de manger, que sinon j'ai rien. Il voit dans mon regard et mes joues creuses que sinon, oui, je vais crever. « Allez, file. » Hébétée, je ne bouge pas. Je le regarde avec des points d'interrogation à la place des yeux. « File, j'ai dit. » Il ne m'en faut pas plus. Je m'enfuis dans le jour couchant, mon butin entre les mains, sans savoir pourquoi est-ce qu'il m'a laissée filer. J'me souviens même plus comment est-ce que ça a commencé. Comment est-ce que ça a dérivé comme ça. Comment est-ce que je me suis mise à apprécier sa présence, quand il m'attendait chaque fois au même carrefour depuis ce jour-là. À guetter sa silhouette lorsque je quittais la Plaque ou venais directement de la Forêt. Non, j'sais pas, parce que c'est idiot et complètement fou. À partir de quand est-ce que je lui ai proposé de lui donner quelque chose pour qu'on le partage ? À partir de quand est-ce que j'ai vu dans ses yeux que, lui non plus n'avait pas choisi ? « C'est comment, le Capitole ? » lui ai-je demandé pourtant un soir. Il s'est un peu raidit. Il sait comme ma haine est brûlante pour ces gens là. « Je n'y suis pas beaucoup allé, tu sais. Seulement dans les quinze premières années de ma vie, quand mes parents m'y trimballaient, mais je vivais au deux... avant que mon père ne m'emmène avec lui sur les routes des districts. Au début, il était garde au 4. Autant dire que c'était pas vraiment comme ici. Quand il est mort, j'avais dix-neuf ans. J'suis resté encore pas mal d'années là-bas, j'avais pris sa place, et petit à petit, on me faisait descendre. Du 4 je suis passée au 7. Rudement moins drôle d'un seul coup. Le 8, le 9, le 10... Le 11 m'avait déjà marqué, pourtant quand j'suis arrivé ici, j'pensais pas que c'était possible. » Je serre les dents, pince les lèvres. J'aime pas franchement entendre que mon district n'est qu'une misère ambulante, quand bien même est-ce vrai. Il se mordille la lèvre. Il sait qu'il en a trop dit, mais c'est moi qui lui ai demandé. Il passe une main dans ses cheveux bruns, et j'me surprends à avoir envie de faire pareil. Mais j'bouge pas, appuyée contre le derrière de la petite cabane du commerçant. J'sais qu'il me dénoncera pas. « Rosaë ? » Je lève les yeux vers lui. Mes océans rencontrent la noirceur des siens. J'sais pas comment c'est arrivé, non, comment on en est arrivé là. Comment est-ce que j'ai pu le laisser faire ça, pourquoi est-ce que j'ai pas bougé lorsqu'il s'est penché pour poser ses lèvres contre les miennes. « Tu sais que si un jour, on nous surprend, on est morts tous les deux ? » Je hoche la tête. Oui, je le sais parfaitement. Il me sourit, presque tendrement. J'crois qu'on ne m'a jamais regardée comme ça. Déjà que d'habitude, on ne me regarde pas tout court. « Si j'pouvais, je t'emmènerai loin d'ici, Rosie. » Il est un des seuls à m'appeler comme ça, d'habitude à la rigueur, c'est Rosa. J'réponds pas. J'suis pas de ceux qui misent sur les espoirs fous et les rêves naïfs. Il le sait autant que moi. J'sortirai jamais de ce trou à rat qu'est le Douze. Et puis, les autres ? Ouais, vous avez raison, au fond je m'en fiche, des autres. Sauf peut-être de ceux qui m'ont aidée, à un moment ou à un autre. Il caresse ma joue. Puis c'est là que les voix arrivent. Je me raidis. « Merde ! » On se lève d'un seul coup. Un groupe de cinq ou six Pacificateurs arrive vers nous. S'ils nous trouvent ensemble, c'est fini. Non seulement « nous » – même si j'ignore comment le définir – mais lui et moi aussi, séparément, on est morts quoi. On passera sur la Grand Place, et j'serai prête à parier que notre exécution sera même filmée. « Trouve un moyen de faire diversion ! Ou alors explique leur ! J'sais pas, mais fait quelque chose ! » Il me toise durement. « Arrête de crier, bordel ! » Ah ouais, tu me hurles dessus, maintenant ? Je fronce les sourcils. « Je hurle si je veux. » Il me dévisage. À présent, j'ai l'air d'une sauvage. Il sait comme je suis. Insolente, têtue, défiante. Une boule de feu. Un lion en cage, qui tourne, tourne, et sort parfois les griffes. « Arrête de faire l'enfant, calme-toi, faut trouver une solution. » Mais je sais qu'il l'a déjà trouvée. Les pas sont tout près à présent. Je le défie du regard. Il n'osera pas. Il n'pourra pas lever la main sur moi. Plantée devant lui avec mon air téméraire flanqué sur la visage, il me semble que c'est presque cette insolence qui lui donne la force de le faire. Le coup part l'instant suivant et je m'effondre sur le sol avec un cri rauque. Ma joue est en feu, et quand je porte la main à mon visage en gémissant, j'ai du sang sur les mains. J'ai soudainement envie de me jeter sur lui, de le tuer. Comme j'ai fait avec l'autre, il y a deux ans, ce qu'il ignore lui aussi. Je me relève d'un bond, et lui fonce dessus, mais il est plus fort que moi. Il m'attrape le poignet, et le tord pour m'immobiliser. Je lâche un couinement de douleur. « Hé, c'est quoi ce raffut ? Ah ben t'as fait une belle prise là. Qu'est-ce qu'il s'est passé ? » C'est bon, ils sont là. J'ose même pas les regarder, j'le regarde lui, et mes yeux lancent des éclairs. « Un vol. Cette petite voleuse a dérobé chez l'voisin. Elle a eu sa correction, je la ramène chez elle avant qu'on ne la trouve en plus dehors après le couvre feu. » L'un d'eux s'approche de moi. « C'est dommage, elle est pas mal celle-ci. Enfin, il lui faudrait dix kilos en plus et qu'elle soit moins sauvage. Mais j'me la ferai bien en dessert. » Je ne sais pas qui de nous deux lance à ce moment-là le regard le plus noir à celui qui a ouvert la bouche, mais je n'ai le temps de rien dire. « On n'parle pas comme ça ! Fais gaffe à ce que tu fais et ce que tu dis, ou le Chef aura un beau rapport. Allez, on déguerpit, retournez faire vos rondes, je ramène la gamine. » Je me tortille. Il a forte autorité sur les autres, et pour une fois, c'est utile. J'repense à l'échange. Tiens, ça ne lui a pas plu l'idée que son cher collègue parle ainsi de moi ? Une fois qu'ils sont suffisamment loin, et qu'on s'éloigne vers la maison de mon oncle, il me lâche enfin le bras. J'ai le poignet qui a tourné au violacé. Je regarde obstinément par terre, grommelant ma douleur entre mes lèvres serrées. Mais mon arrogance et ma fierté reviennent au triple galop. « Dis donc, t'es jaloux ou quoi ? » Bon, ok, celle-là est méritée, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il m'en mette une autre. Sa main claque sur ma joue avant tellement de spontanéité que je chancèle. Il me retient pour ne pas me laisser tomber. Sur le reste du chemin, je décide donc de rester silencieuse, les dents serrées par la colère et l'hébétude. Derrière la maison de mon oncle, il me fait asseoir sur un gros rocher. Je tousse, crache mes poumons, et n'ose pas le regarder. « Rosaë, je suis désolé, je.. » C'est l'étincelle qui me fait exploser, là avec sa voix douce et mielleuse alors qu'il vient de m'amocher. Je me lève d'un bond et me jette contre lui. Je le frappe, enfin essaie, et il se laisse faire. Mes coups sur son torse sont si faibles qu'il ne bronche pas. Je me défoule jusqu'à plus de forces. Je me laisse retomber sur le caillou, vidée et pourtant encore bouillonnante de colère et de désir. De haine et de peine. Il s'accroupit près de moi, et caresse ma joue encore rouge. J'devrais trouver la force de lui dire qu'on doit arrêter. Que j'veux plus le voir, qu'il ne faut plus, que cette histoire nous condamnera tous les deux. Mais moi ici, j'suis déjà condamnée. Quand il se penche pour embrasser mes lèvres gonflées et meurtries, son baiser a le goût du sang et du désespoir. J'vois bien dans ses yeux qu'il s'en veut. J'sais aussi qu'il n'a pas eu le choix, même si ma fierté me pousse à me dire qu'il l'avait. Mais il ne l'aura jamais. Quand notre baiser s'enflamme comme la poudre d'une dynamite, il s'en détache. J'ai le souffle court et les sens en alerte. « Rosie tu sais, je.. » Je le regarde, le dévisage. Je sais même pas s'il faut qu'il continue sa phrase. « ... il faut que je reprenne ma garde. » Et il me laisse comme ça. Triste, vidée, déboussolée, avec encore sur ma bouche le goût de notre interdit et du sang qu'il a fait couler en me frappant. Je le déteste. Je le déteste pour m'avoir fait ça, je le déteste pour être un Pacificateur, et surtout pour l'importance qu'il a pris dans ma vie. - Spoiler:
pour un très trèèèès rapide résumé, c'est très simple (ou plutôt compliqué (a)) : il est pacificateur, elle braconnière. pendant un temps, il l'a observée, longtemps, faire ses allers-retours vers la forêt, la plaque, l'endroit où elle planque sa contrebande... sans jamais l'embêter là-dessus, jusqu'à un jour où il lui tombe dessus. sans vraiment lui-même savoir pourquoi, il va la laisser partir. lui-même ne sait pas trop vraiment pourquoi et comment, mais ils ont commencé à se revoir. souvent. à se partager ce qu'elle ramenait, à s'attendre à certains points de rendez-vous secrets, à se parler vraiment chacun l'un de l'autre. jusqu'au jour où, sans crier gare, il l'a embrassée. a alors commencé une sorte de situation étrange, mêlée d'envie, de jalousie et de choses très compliquées. pourquoi compliquées ? parce que de un, il est pacificateur. fricoter avec une habitante du douze (encore plus quand on fraude comme elle), c'est pas forcément très bien vu. de deux, très apprécié par le chef des pacificateurs du douze, il est promis à sa fille, isis, avec qui il doit s'afficher. de trois ? pour se couvrir et les protéger l'un et l'autre, pour ne pas que l'on croit une seule seconde à ce qu'il se trame en rosaë et lui, il lui arrive de lever la main sur elle. il s'en veut, elle lui en veut aussi, mais les deux savent qu'ils sont obligés d'en arriver là. que leur relation, si elle doit exister, ne sera jamais faite que de destruction. ils connaissent une personnalité de l'autre qu'ils ne montrent à personne, un côté sensible, alors qu'ils sont tous les deux très impulsifs, têtus et au fond, pas mal hargneux. isis goldstein ≈ ils sont promis l'un à l'autre, car mr. goldstein, le chef des pacificateurs, est le père d'isis. ce dernier apprécie énormément X qu'il voit comme très prometteur, alors il a décidé de lui offrir la main de sa fille. ce que l'un et l'autre ne supportent pas vraiment.
Dernière édition par Rosaë Lionheart le Jeu 27 Fév - 19:21, édité 4 fois |
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Rosaë LionheartIci depuis le : 26/01/2014 Messages : 968 | Sujet: Re: (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. Mer 19 Fév - 14:15 | |
| juste quelques petits trucs.oh, rien de bien méchant. merci déjà de lire ce scénario. alors alors : le pseudo ≈ il est totalement au choix, vraiment. le prénom, le nom, prenez ce qui vous plait, quelque chose d'original sans que ça soit totalement imprononçable. l'avatar ≈ alors, j'avoue qu'à la base, je vois shiloh fernandez parfaitement pour ce rôle. mais mis à part ça, un brun ténébreux fera entièrement l'affaire (enfin, même s'il est blondinet en fait ) tant qu'il colle un minimum avec l'idée du personnage ! j'suis pas difficile pour ça, venez avec vos petites idées ou quoi et ça sera nickel. faut pas que ça vous bloque, c'est vraiment secondaire. même un mannequin fera très très bien l'affaire. isis ≈ en effet comme vous pouvez le voir, il y a deux liens ! un avec rosaë et l'autre avec isis. et comme vous le remarquerez vite, isis n'est pas encore jouée, mais ça sera très bientôt le cas ! en attendant, on ne fera que mentionner le fait qu'ils soient promis l'un à l'autre, par exemple, mais elle sera bientôt jouée. présence/rp ≈ alors, on a tous une vie, des études, un boulot, des loisirs... et ça, on le sait totalement. du coup, on ne demande pas un rp par jour et une présence H24 don't worry ! s'il pouvait y avoir un à deux rp par semaine, ça serait parfait, plus encore mieux, mais sinon on s'arrange quoi. pour le rp, je ne suis personnellement pas difficile, je m'adapte à tout. je préfère généralement les rp plutôt courts qui font avancer les choses, mais quand je suis inspirée, je peux m'adapter à toutes longueurs. alors ne vous faîtes pas de soucis pour ça ! autres ≈ si vous prenez notre petit pacificateur, on vous couvrira d'or. mais vraiment vous voyez. d'or, d'amour, de bisous, et plus encore. n'hésitez pas si vous avez la moindre question concernant le lien ou le personnage, je veux avant tout que ça soit le vôtre, mais si vous avez besoin de moi, j'suis là, j'vous donne même un pass VIP pour ma boîte MP quoi. puis de toute façon, après ça, j'suis rien qu'à vous. et j'vous offrirai des cookies-panda.
Dernière édition par Rosaë Lionheart le Jeu 27 Fév - 19:23, édité 1 fois |
| | | Invité
| Sujet: Re: (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. Mar 25 Fév - 0:29 | |
| Bonsoirrrrr ça fait un moment que je scrute le forum et après mûres réflexions j'ai bien envie de tenter l'aventure avec ce scénario qui promet pas mal de possibilités d'évolutions intéressantes pour my dark twisted soul niark niark Me voilà donc, seulement, j'ai beaucoup de mal avec Shiloh mais dans le genre brun-ténébreux qui je trouve correspondrait au personnage je voulais savoir si Tobias Sorensen pouvait te convenir ? S'il ne te plaît pas, j'essaierai de réfléchir à d'autres propositions PS : j'espère aussi que le pseudo te convient ! |
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Rosaë LionheartIci depuis le : 26/01/2014 Messages : 968 | Sujet: Re: (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. Mar 25 Fév - 7:49 | |
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| | | Invité
| Sujet: Re: (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. Sam 8 Mar - 18:13 | |
| ça fait beaucoup trop longtemps que je veux tenter ce scénario, cette fois, c'est la bonne. salut toi. |
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Rosaë LionheartIci depuis le : 26/01/2014 Messages : 968 | Sujet: Re: (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. Dim 9 Mar - 6:52 | |
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| Sujet: Re: (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. | |
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| | | | (M/LIBRE) AU CHOIX ≈ the fault in our stars. | |
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