Hestia Bennett

petite citation ici

papiers d'identité. nom : ici. prénom(s) : Hestia. surnom : Hessy, bien que ce ne soit absolument pas un surnom que j'ai choisi. Les gens ne comprennent pas que mon prénom est suffisamment court pour que je n'ai pas à avoir de prénom. C'est gentil de leurs parts, mais... Je ne me vois pas leurs dire que je trouve ça laid et que ça ne me plaît pas, mais je fais partie de ces rares personnes qui aiment leurs prénoms. Autant l'utiliser. âge : Vingt-cinq ans. Ce qui est un soulagement. Dépasser les 17 ans, se dire que l'on a eu la chance de ne jamais voir son nom se faire tirer.. Je sais bien qu'il n'y a aucune fierté à avoir et que cela peut sonner égoïste. Mais je sais de quoi je suis capable et de quoi je ne le suis pas. Et de ce point de vu, je sais que je ne l'étais absolument pas. Oui, 25 ans, c'est bien. district de naissance : Le district douze est ma maison. Je ne l'ai jamais quitté et je n'en ai jamais vraiment eu envie. Peut être que la vie est plus simple, dans un autre district, mais je sais que dans le fond, c'est la galère, pour nous tous. On fait de son mieux mais cela n'a jamais rien eu d'évident. Je suis bien ici ou en tout cas, aussi bien que possible.. quelques traits de caractère : « Hestia, c'est ce genre de personne en qui on pourra toujours avoir confiance, elle est douce, tendre, agréable et protectrice. Peu importe l'événement, on peut toujours compter sur elle et elle fait toujours tout ce qu'elle peut pour nous venir en aide. D'ailleurs, elle peut être une sacrée forte tête quand elle s'y met. Elle a toujours les mots qu'il faut, pour nous calmer, pour nous aider à nous sentir mieux. Optimiste à souhait, en fait. Et puis, elle va toujours vers les gens, elle est sociale et spontanée, clairement ce qu'il manque à la plupart des gens. Elle croit en l'être humain, là où beaucoup ont perdu espoir à cause du capitole. Pourtant, parfois, elle semble un peu fragile, à se demander si elle a besoin d'aide, quand on la croise dans la rue, mais non, elle est bien plus forte que l'on pourrait le croire. Elle continue de croire que les choses vont changer. Parfois, elle semble un peu rêveuse, de toute évidence.. Elle est pacifiste, après tout, le gros bordel des Hunger Games, ça lui a toujours foutu le moral en l'air, à l'approche de la moisson.. Elle est trop sensible, un poil naïve.. Mais c'est vraiment quelqu'un de bien. » (un ami proche)groupe : we fear métier/occupation : J'ai toujours voulu enseigné, et j'ai fait de mon mieux pour atteindre mon but. Je suis institutrice, toujours prête à aider mes élèves. J'ai peur pour eux, continuellement, et à chaque moisson. personnage : scénario. sous le visage de : Jenna Coleman crédits avatar : shiya sous le masque. pseudo : avengedinchains. prénom : Sara âge : 23. pays : France. ton avis sur le forum : beaaaau   . un dernier mot :    Code: <t>jenna-louise coleman</t> ≈ hestia bennett.

may the odds be ever in your favor.
que penses-tu du capitole ? Le capitole.. Il y a bien longtemps que j'ai arrêté de me pencher sur un tel sujet, ils ont, de toute façon, peu d'intérêt à notre égard lorsque les jeux ne sont pas en cours. C'est sans doute le seul moment où ils se souviennent qu'ils ne sont pas les seuls et qu'il faudrait peut être un peu penser aux autres. Bien sûr, cela n'a rien d'évident mais tout de même, à quoi bon oublier le reste du pays quand c'est eux qui ont le plus de problème. Ils sont égoïstes, étranges aussi. Mais que pouvons-nous bien faire contre eux, si ce n'est subir, et se taire ? Nous n'avons pas de possibilités, nous n'avons.. Rien à faire, d'une certaine manière, puisque rien n'est possible. Et ça me blase parce que s'ils se donnaient la peine, les choses seraient différentes. La rébellion est encore fraîche, oui, peut être qu'il est impossible de faire confiance aux districts. Mais avec ce qu'ils nous font subir, il n'y a rien de vraiment étonnant là dedans.
et les jeux, tu as un avis dessus ? J'ai peur des jeux. Chaque année, ils prennent un de mes élèves et la plupart du temps.. Il ne revient pas. Ca m'arrache le cœur. Je fais de mon mieux, pour surmonter ça, je ne peux éprouver autant de douleur que les familles de ces gosses mais je ne supporte pas ces jeux, je ne supporte pas de voir des enfants s'entre-tuaient pour un amusement malsain, pour des gens qui trouvent ça drôle. J'ai mal pour eux, pour ces enfants qui n'ont d'autres choix que de dire adieu à leurs familles, à leurs vies qui viennent tout juste de commencer. Je suis effrayée et malgré tout ce que je pourrais bien dire, cela ne reste que hypocrite. J'ai eu de la chance, j'ai eu beaucoup de chance au cours de ma vie. Je ne manquais que de peu de choses et mes chances d'atterrir dans les jeux étaient moindre..
la plaque, tu connais ? tu y vas de temps en temps ou pas ? Je n'y suis allée que rarement et encore, c'était uniquement lorsque cela s'avérait vraiment nécessaire, en réalité. Je n'ai jamais eu la nécessité de m'y rendre, et de toute façon, c'était sans doute mieux comme ça. Avec ce statut de privilégié qui me colle plus ou moins à la peau. Je suis bien, je n'ai donc pas la moindre raison de m'y rendre et cela me terrifie. Je sais qu'il ne s'agit sans doute que de préjugés ignobles de ma part. Mais si je n'ai pas envie de m'y rendre, c'est parce que je sais que dans une situation aussi précaire que celle que l'on retrouve là bas, tout peu arriver.. Et j'ai peur des conséquences de ma présence là bas. J'ai peur que l'on s'en prenne à moi, que l'on me fasse du mal alors que moi, je n'ai jamais rien fait aux gens. C'est.. Une chose qui pourrait arriver à toute occasion après tout. Je crois en l'être humain mais.. Ca ne rend pas tout le monde bon..
imagine, on t'offre un souhait. quel serait ton vœu ? Si je pouvais avoir un souhait, je demanderais que les jeux s'arrêtent. Je sais, il y a bon nombre de souhait que je pourrais faire. Que le douze ait une meilleure situation de vie, que le capitole soit plus gentil et qu'il arrête de faire de la discrimination à l'égard des autres.. Mais notre premier problème n'en reste pas moins les jeux et c'est principalement vers ça qu'il faut se tourner, en premier lieu. Des vies innocentes, des enfants qui n'ont jamais rien demandé..
répondre en trois-quatre lignes minimum.

any last advice ? stay alive.

if we burn, you burn with us.

 « Puisque je vous dis que je l'ai trouvé ? ». Un soupir s'échappa des lèvres de Hestia alors que le pacificateur la regardait d'un œil sévère, le pain dans sa main. Plus tôt dans la journée, elle avait surpris un de ces élèves avec l'objet du délit entre les mains. Et à la vu des maîtres de l'ordre, elle le lui avait pris pour qu'il n'ait pas la moindre raison de se sentir coupable de quoi que se soit. Elle ne voulait pas qu'un de ses gosses soit inculpé pour vol. Surtout s'il s'agissait d'un vol pour manger. Cela n'avait pas de sens. Le district n'avait pas suffisamment d'argent et ça se ressentait. Les enfants et leurs parents mourraient de faim, et ça devenait dingue. La jeune femme avait la chance d'avoir un emploi. Même si elle ne parvenait pas toujours à manger à sa faim, au vu du salaire de misère qu'elle avait, ce n'était pas rien non plus. Enfin voilà, tout ça pour dire qu'il était hors de question que cet enfant soit accusé. S'il avait faim, elle estimait qu'il fallait avoir un peu de cœur. Un gosse n'avait pas à être affamé. Cela n'avait pas le moindre sens, tout ça. Elle voulait le protéger et au final, elle était tout bonnement prête à tout pour aider cet enfant qui ne méritait rien de ce qui était en train de lui arriver.  « Nom et prénom s'il vous plaît ». La jeune femme trouvait ça ridicule, il savait très bien qui elle était. Elle avait toujours vécu ici, et tout le monde la connaissait. Elle n'avait pas envie de perdre autant de temps, elle savait, en plus que tout ça finirait par se résumer par un avertissement. Que pouvait-il dire de plus ?  « Hestia Bennett. Vous le savez très bien.. ». Le pacificateur l'ignorait parfaitement, il se moquait de ce qu'il pouvait bien lui dire et il estimait que la seule chose qui soit réellement en mesure de compter, il voulait juste faire le point ou.. Lui faire cracher le morceau, plutôt.

La jeune femme n'avait jamais aimé cette vie, cette pauvreté et cette déprime. Elle avait toujours essayé de relativiser, mais ça ne voulait pas dire que ça fonctionnait vraiment. L'optimisme avait ses limites et elle s'y était heurtée à plusieurs reprises. Fille unique du seul médecin du douze, elle n'était pas la personne la plus à plaindre et souvent, elle s'empêchait de manger pour donner son repas à quelqu'un qui en avait davantage besoin. De manière général, elle ne mangeait qu'un véritable repas par jour. Et, par rapport aux gens du douze, c'était déjà pas mal, de toute façon. Elle avait toujours préféré aider les gens, avant toute chose. Et c'était pour se sentir utile qu'elle était devenue institutrice. De toute façon, elle avait toujours eu bien plus de facilité avec les enfants, qu'avec les adultes. Ses parents avaient été déçu de ne pas la voir reprendre le flambeau. Mais ce n'était pas eux qui allaient lui reprocher de choisir son propre avenir. Ce fut un coup dur, oui, mais ce ne fut pas impardonnable. Et maintenant, chaque année, elle voyait un de ses élèves partir pour la moisson. Elle faisait ce qu'elle pouvait pour réconforter les famille, grâce aux pâtisseries qu'elle aimait faire. Alors il était hors de question de s'en prendre à l'un d'eux alors que ce n'était pas l'heure. Encore moins pour un vulgaire pain.  « Où as-tu trouvé ce pain ? ». Il la sortit de ses pensées et il se mit à la pousser à aborder un sujet qui ne lui plaisait pas. Son ton encore moins, puisqu'il s'avérait désagréable, froid et insupportable. Ce pacificateur s'imaginait être quelqu'un d'autre.  « Je vous ai dit que je l'avais trouvé. Que vouliez-vous que je fasse ? ». Elle ne supportait pas cette façon familière qu'il avait de lui parler. Il était nouveau ici, peut être. Elle ne l'avait pas tant vu que ça, cet homme. Et elle aurait aimé ne pas avoir cette conversation avec lui. Elle n'était pas une voleuse et elle ne supportait pas qu'un homme puisse la juger comme ça. Transparente, d'apparence fragile et parfois trop sensible.. Elle n'était pas un monstre et elle était.. Qui elle était. Hestia n'accepterait jamais qu'on lui marche sur les pieds.

Un pacificateur arriva, murmurant quelque chose à l'oreille de ce dernier, se tournant vers Hestia, la fusillant lâchement du regard.  « Nous en reparlerons ». Il se volatilisa alors.. Que la jeune femme ne savait plus où donner de la tête. Se tournant vers l'enfant qu'elle venait de sauver, elle déposa un tendre baiser sur son front. Il avait les larmes aux yeux, il était timide, et.. On le sentait terrifié.  « Merci, beaucoup Hestiaé ». Le pacificateur ayant oublié le pain, elle le lui donna et lui conseilla de rentrer chez lui. Le cours était terminé.

Bienvenue au district 12

puisse le sort vous être favorable

Félicitations, te voilà officiellement membre du district douze ! L’étape de la présentation est désormais derrière toi, et il ne te reste que quelques détails à régler avant de profiter pleinement du forum. Et comme on est sympa, on va t’aider en te donnant les liens principaux. Pour bien t’intégrer, il te faut aller faire un tour du côté des liens, et poster ta propre fiche. Dans le district, tout le monde a un rôle à jouer. Tu peux voir le registre des métiers proposés proposés et recenser le tiens dans ce sujet. Enfin, tu peux créer tes scénarios si tu recherches des liens spécifiques. Par contre, si l'on se charge d'ajouter ton avatar au bottin, tu n'oublieras pas de recenser celui de tes scénarios une fois qu'ils seront achevés. Nous avons aussi une section pour mettre en contact membres et invités qui recherchent des liens particuliers sans passer par un scénario... N'hésite pas à y faire un tour!
Et n’oublie pas qu’en cas de questions, de remarques ou quoi que ce soit, nous restons à ta disposition !

Bon jeu parmi nous !